Les aventures avec Mon 1er Maitre (16) : Auto-humilié et bdsmé durement… mais j’aime ! (3ème partie)

Je suis au pied du Maitre, à genoux, mains derrière la tête, intégralement à poil !

J’ai totalement obéi à ses ordres. Docilement.

J’accepte mécaniquement. Je suis définitivement maté et j’écoute les commentaires du Maitre qui me détaille comme une marchandise.

- « Tu as vraiment tout d’un bon trav pute soumise... avec ta gueule d’ange, ta chatte et tes jambes poilues et ton allure de mec aux traits fins ! »

- « Tourne-toi que je vois ton cul. »

- « Prosterne-toi, la tête entre les bras, les fesses bien relevées, espèce de putasse. »

Comme je n’obéis pas assez vite à son goût, il s’approche et me file quelques claques sur les fesses. Alors, je ne résiste pas et je prends la pose grotesque qu’il souhaite.

- « Tu as un joli cul, je te l’accorde », dit-il, en appuyant la semelle de sa chaussure à la naissance de ma raie.

- « Si tu ne veux pas le voir rougir, je te conseille d’obéir plus vite. Si je ne suis pas satisfait de tes services, esclave, je pourrai ne plus te faire de faveur. »

- « Bon, voyons ce que je vais faire de toi ? »

LM pense tout haut et il ajoute :

- « Puisque tu es incapable d’être une servante, je vais faire de toi ma carpette, saleté de merde ! ».

Il dit ça en criant presque et je frissonne d’angoisse.

Il me tend l’une de ses chaussures et siffle :

- « Tu vas me les nettoyer ! »

J’hésite… aussitôt LM m’assène plusieurs claques retentissantes et surtout douloureuses ! Alors je dépose lentement un baiser sur le cuir de la chaussure.

- « Connasse, je ne t’ai pas demandé de baiser mes pompes, mais de les nettoyer ! Je veux voir ta langue bien sortie ! »

Je me penche en avant et j’effleure de ma langue le dessus de la chaussure.

Quel tableau, me dis-je, je suis nu, prosterné devant Lui, mes belles fesses musclées et pommées offertes, et j’embrasse ses souliers.

L’image que je vois dans ma tête me fait frissonner et quand j’appuie plus fortement ma bouche contre le pied de mon Maitre, quelque chose explose en moi : l’envie d’être une chienne ignominieuse, servile comme un esclave de la Rome antique.

Incontinent, je suis révolté par mon abjecte soumission ! Mais, dans le même instant, cette révélation me trouble beaucoup.

Et alors que LM ordonne : « Lèche-les, nettoie-les bien pour qu’elles brillent… », j’obtempère docilement !

Il ajoute : « Je veux que ta langue n’oublie rien, lèche aussi la semelle ; je veux qu’elles soient impeccablement propres ! 

Malgré mon humiliation et le dégoût que ça m’inspire, je me mets à lécher les mocassins avec application en m’efforçant de nettoyer la plus grande surface possible comme une bonne ménagère consciencieuse.

- « Ensuite, énonce encore LM, tu les sécheras avec ton corps ! Oui, avec tes jolies fesses fermes et douces, tu vas les frotter contre le cuir de mes chaussures ! »

Je suis rouge de honte : l’avilissement que je subis est à la hauteur de ma déliquescence morale !

J’en ai conscience mais je continue mon travail : j’insiste sur les petites taches de fange et de gadoue jusqu’à les faire disparaître complètement.

Je me rends compte que LM apprécie mon travail.

Il se penche d’ailleurs pour flatter le cul de son esclave et je tressaille involontairement de plaisir sous la caresse.

Quand j’en ai terminé, je me redresse pour prendre chaque pied du Maitre et je fais aller et venir la chaussure contre la peau douce de mes fesses !

- « Voilà qui est bien, se délecte LM, je pense que je pourrai peut-être bien tirer quelque chose de potable d’un trav aussi gourde que toi, finalement. »

- « Merci Maître », je réponds avec force déférence, sincèrement reconnaissant que celui-ci apprécie autant ma tâche et, encore plus, de ne pas recevoir d'autres claques puissantes !