Les aventures avec Mon 1^er Maitre (17) : auto-humilié et bdsmé durement… mais j’aime ! (4^ème partie)

- « Ne te réjouis pas trop vite ! Tu mérites une punition, ça t’apprendra ! Allez, ouste, monte l’escalier ! Et à 4 pattes, sur les avant-bras. Plus vite, au trot ! »

Je me démène, les coudes et les genoux rougis par les frottements. LM accompagne chacune de ses exhortations d’un coup sec sur mes fesses à l’aide d’une badine.

Je vais ainsi jusque dans la grande chambre, là où le plus souvent ont lieu nos activités sexuelles.

- « Grimpe sur la table basse, la tête entre les bras, le cul bien haut », dit LM.

Je m’exécute et place ma tête entre mes avant-bras. LM pince alors la base charnue d’une de mes fesses et tire dessus pour m’obliger à bomber davantage ma croupe.

- « Plus haut le cul ! Et écarte bien les cuisses ! » crie-t-il.

Je pousse un cri étouffé en prenant immédiatement la pose requise, bien conscient de la posture obscène qui ne cache rien de mon intimité. Mes bourses et ma bite tombent bien, mon trou du cul s’entrouvre, les bords de mes sphincters se décollent et je sens l’humidité qui en sort doucement, l'émoi provoqué par cet étalage dégradant gonflant légèrement ma queue.

Passif, je ne suis plus qu’une lope soumise qui se regarde prendre la pose pour son Maitre. Même mes tétons sont un peu enflés et durs car cette exhibition forcée devant LM ne me laisse pas insensible, même si cela me mortifie.

LM brise le silence.

- « Alors, ma larve docile, que mérite les mauvaises élèves qui ne s’appliquent pas suffisamment sur leur travail ? »

- « Une fessée, un travail des couilles et des seins et bien plus si vous le désirez, Maitre », je réponds.

- « Exact ! Et ne t’avise pas de te protéger avec tes mains, compris ? »

- « Oui, Maitre », je gémis.

Je me crispe, les nerfs à vif, attendant le premier coup. Je sens le regard du Maitre fouiller chaque recoin de mon cul et de mon anus largement ouverts.

La première claque me surprend quand même, et c’est une avalanche de tapes, fortes et lourdes, qui s’abat sur mon derrière. J’ai les larmes aux yeux et ne peux m’empêcher de penser qu’il risque d’avoir mal à la main à me frapper ainsi.

LM y va vraiment de bon cœur ! Je me tortille pour éviter les coups, mais en vain. La douleur est terrible mais je reste néanmoins prosterné, offert au Maitre, le cul en l’air, lui permettant d’assouvir ses phantasmes ! Et je sanglote sous la souffrance qui m’irradie la chair.

L’épreuve, certes un véritable supplice, dégage aussi dans mon corps une chaleur qui rayonne et se propage progressivement vers l’intérieur de mes cuisses et jusqu’à mon ventre comme une sorte de transe/excitation qui gagne jusqu’à mes couilles et ma bite. J’ai mal effroyablement et je suis échauffé et attisé en même temps ! Mes sanglots se transforment en petits gémissements de chienne en chaleur, et ce à mesure que mon sexe se gonfle ; je les trouve abjectes ces geignements de chienne tout en ne pouvant lutter contre mon émoi qui enfle lui aussi !

LM vise maintenant directement entre mes cuisses, frappant avec un plaisir sadique mes gonades et ma bite durcie mais non encore turgescente. Que j’aime ce tourment jouissif !

- « Regardez-moi cette fiotte adoratrice qui subit avec délice les tortures de son Maitre ! »

Il rit et parle fort, ajoutant : « Il suffit que je lui touche le cul un peu pour que notre petite vicieuse s’enflamme. Tu es encore pire qu’une chienne, ma parole, ton trou du cul dégouline de mouille et tu bandes presque comme un homme, ma putasse ! Tu n’as pas honte, dis- moi ? »

LM se met alors à me tapoter vigoureusement les couilles et m’envoie des petites pichenettes vicieuses sur ma verge gonflée. À chaque coup, j’ai la sensation qu’une décharge électrique traverse mon corps et qu’il est secoué de spasmes. Mais dans l’instant, je dois lutter de toutes mes forces afin d’empêcher le plaisir de m’envahir.

Si je jouis, pensé-je, le triomphe du Maitre sera total ; il me posséderait ainsi corps et âme. Mais en vain. Jamais mes séances de masturbation ne m’ont permis de ressentir un plaisir aussi pur et intense. LM alterne maintenant caresses et coups avec virtuosité : durant quelques instants, il fait coulisser ses doigts le long de ma bite tout en tripotant habilement mes testicules, puis subitement il pince méchamment mon gland ou le gras de l’intérieur de ma cuisse. En même temps, il ne cesse les moqueries et les insultes qui résonnent dans ma tête telles des cloches continues.

Il poursuit de même un long moment, allongeant progressivement les caresses, empoignant alors ma bite à pleine main et la branla énergiquement, triturant et malaxant adroitement mes bourses. Mon maître me glisse brusquement trois doigts dans l'anus, sans grand problème car bien humidifié par ma mouille même si je pousse un petit cri de douleur. Il écarte ses doigts en éventail et de l'autre main m’enserre encore plus fort la pine.

- « Jouis maintenant », dit-il et il me masturbe férocement. Quelques allers-retours suffisent. L’orgasme que j’éprouve est phénoménal ! Mon jus jaillit soudainement et je me répands en gros et longs jets puissants, me laissant pantelant, les jambes en coton. Mon corps est encore parcouru de longs frissons quand LM se place devant moi.

Il m’enfonce sans ménagement ses doigts dans la bouche. Veule et indolent, je me mets à aspirer ma propre crème qui macule les doigts du Maître. Puis je lèche sa main en disant : « Merci Maître. »

 - « Bien salope », répond-il comme satisfait et apaisé. Mon sentiment est trompeur.

Il explose aussitôt, m’aboyant dessus : « Nettoie-moi tes cochonneries ! Tu viens de te comporter comme la dernière des truies, tu t’en rends bien compte, j’espère. »

Je ne réponds pas. Encore sous le choc d’une jouissance comme je n’en avais jamais connu, je me sens dans la peau d’un animal domestique qui témoigne son respect pour la main de son Maître, pouvant dispenser aussi bien les coups que les caresses.

- « As-tu encore des doutes sur ta condition d’esclave ? », insiste-t-il.

- « Non », dis-je en continuant d’embrasser les doigts de mon Maître.

Évidemment, je dois, avec ma langue, nettoyer mon propre sperme sur le sol. Pendant ce temps, LM va chercher, dans une des armoires de la chambre, un gros plug. Ce dernier fait, j’estime, pour la partie la plus large au moins 6 cm de diamètre.

LM me le tend et me dit : « Lubrifie-le ! ».

Je m’y emploie le mieux que je peux et LM semble satisfait puis qu’il m’annonce : « Tends tes fesses ».

Il me l'enfonce à fond dans l'anus.

- « Voilà, tu le garderas tout le temps en toi, nuit et jour. Si tu le perds, je t'en donnerai un plus gros. Tu l'enlèves uniquement pour nettoyer ton trou à pine et te faire prendre. Tu sais que ton trou doit toujours être propre. Si j'y trouve de la merde, tu devras me nettoyer la pine, pareil, et tu seras puni en plus. »

Ensuite, il sort de l'armoire sur un cintre un autre uniforme de soubrette et dit :

- « Habille-toi maintenant. Tu sais que tu dois faire toutes les tâches ménagères. »