Mon exhibition en chienne au sauna, lopé  sur sling (suite 2)

Mon exhibition en chienne au sauna, lopé sur sling

LM me le dit avec ses mots pervers durs insultants… et je l’espère vivement. Je ne sais pas encore quelles sont mes limites et je voudrais les dépasser si possible. Car il est vrai que ce que LM m’a proposé dans ses courriels : à poil 4 pattes en laisse exhibée comme une chienne et servir de vide-couilles à la chaine sous ses ordres, me plait énormément ; le plus surtout, sur sling attaché et baisé à la chaine si possible ! Le sling du sauna est bien fait, large et épais, tenu solidement par plusieurs chaînes. Avant de m’y installer, LM me donne du poppers. En effet, je ne suis qu’une chienne au service de tous et je dois donc être bien excitée. Aussi je sniffe de longues rasades du fluide… jusqu’à ce que la tête me tourne.

C’est dès cet instant, alors que je suis parti et que j’ai hâte qu’on me défonce, que LM me fixe sur le sling : les bras en croix, fermement attachés et serrés, les cuisses bien écartées, les pieds aussi ligotés fortement et levés haut. Aussi mon trou du cul est-il bien exposé, en offrande… Cette position m’excite et, associée à la chaleur du poppers, je sens ma bite se gonfler : j’ai envie d’être très chienne ! J’ai un incroyable désir de bites ; mon trou du cul, ma bite et mon corps me démangent… Putain ! J’ai un besoin absolu de me faire enculer à la chaîne encore et encore, sans répit… surtout que LM me redresse la tête et j’inhale plusieurs fois son bon poppers. Des bulles dans le cerveau ; dans tout le corps j’ébullitionne comme un damné, prêt à toutes les abjections et sordidités. Que ça commence ! Vite !

Je dois avouer qu’en tant que passif, je perçois l’abattage comme beaucoup plus excitant en « public » (sauna, sex-shop, plage...) qu’en privé. Oui Maitre, pour Vous, j’offrirai mon corps, mon cul et le reste  et rien ne viendra gêner cela : je serai là pour petits,  grands,  jeunes,  moins jeunes, vieux, nounours ou autres encore ; plus qu’une lope à fourrer ! Je ne dirai mot, j’en prendrai plein le cul et la bouche. C’est ainsi que je conçois l’abattage pour mon Maitre et je m’amuse énormément !

En effet, en public, la lope que je suis a vraiment le sentiment de toucher le fond de la déchéance (dans mon fantasme évidemment !) car c'est bel et bien à N' IMPORTE QUI que vous allez m'offrir sans choix de ma part. En tant que soumis, j'accepte (et j'aime) la règle : pas de sélection, sauf celle éventuellement que j'aurais convenue avec Vous mon Maître ; en effet, en public, il faut toujours se faire accompagner par mesure de sécurité ! Ceci est d'autant plus jouissif que je serai ainsi dans une attitude complètement condamnée par la morale traditionnelle. Quand a fortiori cette attitude consiste à prendre place dans un sling, les cuisses largement écartées, avec vue non censurée sur ce que l'homme possède de plus intime (plus encore que son sexe !), alors les barrières universelles de la bienséance s’effondrent !

Nous sommes ainsi au cœur d'une manifestation du thème éternel du « monde à l' envers ». Le port d'une cagoule renforce encore le phénomène : « Dans la vie normalisée, je montre mon visage et je cache mon cul ; ici, je cache mon visage et je montre mon cul ». C’est une espèce de défi à l’ordre établi. La satisfaction doit être l'obéissance au Maître - ou au moins pour le soumis sa totale déchéance. C'est bien cela qui doit être l'unique plaisir : S'OFFRIR SANS CONDITION ! Pour le Maître, sa jouissance est de POSSÉDER UN OBJET sur lequel il a la totale maîtrise et cela est évidemment beaucoup plus jouissif de pouvoir afficher son esclave servile en public ! Et plus il est soumis et obéissant, plus le Maître peut en être fier. Moi, je ne suis que Votre objet et en fait, je ne partage pas ce discours sur le visage caché.

La lope s'utilise et se DÉBALLE DANS SA TOTALITÉ ! Dans l’abattage, le soumis n'est QU’UN OBJET et doit donc oublier qu'il est une personne ou qu'il a un cerveau ; il n'est QU’UN TROU et si je l’oublie, Vous le Maître êtes là pour me le rappeler ! Une lope doit uniquement donner du plaisir aux autres. Je ne suis qu'un "tas de viande" à deux trous et je ne dois pas craindre d'être gazée et photographiée, bien visible quand je me fais enculer profond ou qu'on baise dans ma bouche.

En conséquence, c’est en montrant mon visage que le sentiment d'appartenance au Maitre est le plus grand et le sentiment de déchéance devant tout le monde le plus fort ! Une personne en effet c'est d'abord son visage et seulement après son cul. Je suis une lope et fier d’être votre esclave sexuel soumis, on voit donc ma tête et ensuite mon cul offert et on sait que j’appartiens au Maitre qui domine la situation et gère comme il veut le larvage et l’abattage de sa putasse !

Une bonne lope comme moi doit seulement offrir son cul et sa bouche à tous ! Sans exception ! Et on doit voir ma gueule de fiotte. De plus, si le Maitre le veut, je pense que ça ne présente que peu d’intérêt que les participants se présentent l'un après l'autre. La lope doit être avilie le plus possible et doit sucer, être sodomisée, dilatée voire fistée devant le public le plus large possible et plusieurs à la fois (par exemple 3 queues dans sa bouche de salope). Je suis toujours prêt à me faire avilir sans avoir mon mot à dire, car je suis une vraie lope dont le trou réclame des queues. J’aime m’exhiber, qu’on me voit, en train de sucer ou de me faire démonter le cul par plusieurs hommes ; cela décuple mon sentiment d'être une vraie chienne salope (ce que je suis bien sûr).

À mon avis, l’esclave du Maitre n'a rien à demander et doit suivre les ordres du Maître : visage masqué ou non, nombre d'actifs, utilisation de la bouche ou de l'anus, en public ou non. Le Maître a tous les droits et L'ESCLAVE A SEULEMENT LE DROIT DE SE TAIRE ET DOIT ACCEPTER TOUT (sauf si mise en danger !). La lope ne doit surtout pas avoir d’exigences, juste s’offrir dans les positions exigées par le Maitre (par exemple, à genoux sous la douche pour être pissé sur le corps et en bouche par le public !) et obéir à toutes les personnes présentes sans distinction de sexe ou d'envies. C'est uniquement dans ces conditions que je pourrais être soumis à mon Maitre.

J’interromps mes pensées pour crier au Maitre : « Ouvrez la porte ! » Il me répond qu’il n’en a pas fini. Fini de quoi ? Puis je comprends très vite car LM plonge sur le sol, dans son matériel et je le vois se redresser, tout sourire, me disant : « Salope, il n’y a pas que suce et baise à la chaine pour un soumis ! Tu dois accepter tout ceci espèce de larve de merde. » Et pendant qu’il il m’énonce tous ces mots fabuleux qui font fantasmer tout soumis : Bondage Caoutchouc momification torture des seins cul bite et couilles Humiliations Chaines Attachements et Positionnements durs Electro Poppers Pompe à vide Pisse Masques à gaz Cordes Colliers roue dentée Cire chaude de Bougie Croix de St André Pinces à poids Pinces à linge sur tout le corps Féminisation Forcée Groupe scènes d'abus Exhibition Cages urinoir humain Esclavage Fessées Cochon boules piquantes, etc., il m’installe un petit engin !

Je penche la tête vers l’avant. Il a passé ma bite et mes couilles dans une sorte de presse, c’est la première fois que je vois ça et qu’on l’utilise sur moi. Il se met à visser et la partie basse se referme sur la base de mes couilles, m’enserrant le tout. Je lui dis d’arrêter mais, sourire tout sadique me fixant droit dans les yeux, il continue et je sens la douleur qui s’installe, me crispe, me rend le trou du cul tout moite ! Quelle sensation à la fois de tourment mais aussi de jouissance sensuelle du dépravé dominé et qui se délecte en maso du larvage qu’il subit !

Puis LM saisit un fouet et me châtie le bas du ventre, queue et couilles. C’est pénible ; je crie donc : « Pas si fort maitre ». Toutefois je goûte intensément ce moment de domination. LM continue, il sent que j’apprécie et que je suis un soumis qui accepte sa condition et la recherche même, au bout de la délectation débauchée ! En effet, je suis bien ! Installé ainsi, battu par mon Maitre, je savoure mon calvaire !

Mais je voudrais que LM m’exhibe, me montre en train de subir tourments et plaisirs, moi larve sous-merde. Je lui crie encore : « Maitre ouvrez la porte SVP ! ». Il y consent et enfin il l’entrouvre. Je remarque avec bonheur qu’aussitôt plusieurs têtes se glissent dans l’ouverture. LM continue son jeu cruel. Un simple corde, genre corde à linge, il me la montre au bout de ses doigts, et rapidement m’entoure bite et couilles avec. Il tend alors la corde et tire dessus de côté plusieurs fois, rapidement et vigoureusement. Je crie, il me dit de fermer ma gueule et de subir. Mais jamais je n’ai subi ça, ça fait mal. Il insiste, ouah, quelle mortification !

Pourtant, là encore un certain plaisir malsain s’insinue en moi, surtout que des mecs regardent. Ils matent ce drôle de type nu, écartelé et impuissant, qui se fait martyrisé. Ça m’excite puissamment d’autant plus que LM leur dit d’entrer et d’en profiter s’ils le souhaitent soit pour me travailler le corps, utilisant les outils du Maitre, soit pour me baiser ou se faire sucer. Oui je suis bien ! Bdsmé formidablement, au service du maitre et de tous ceux qui veulent, profitant de mon avilissement et y prenant un grand plaisir d’exhibitionniste qui se repaisse de l’ignominie glauque. À cet instant, LM fixe la corde à un anneau de la croix de Saint-André sur le mur opposé à la porte.

Et les mecs finissent d’entrer et de se répartir autour du sling. Je suis à leur merci totale, trop heureux de n’être plus que cet objet sexuel dont ils peuvent se repaître !