Jeudi 27 octobre 4 27 /10 /Oct 10:41

Les aventures avec Mon 1er Maitre (15) : Auto-humilié et bdsmé durement… mais j’aime ! (2ème partie)

 

LM tourne autour de moi, me regardant, me détaillant des pieds à la tête de longues minutes. J’attends, agacé par cet examen que je trouve un peu pervers. Je tente de n’en rien montrer sachant qu’Il peut s’énerver soudainement et se montrer alors brutal.

moi enculé et soumis

Que manigance-t-il ? A-t-il une de ses idées vicieuses et obscènes ou libidineuses voire malfaisantes pour ne pas dire diaboliques ? Je suis un peu inquiet… mais au fond j’aime cette capacité inventive, même vaguement maléfique, du Maitre ; il va me soumettre et m’humilier un peu plus ; or je viens pour ça et ne souhaite plus qu’être une larve !

Soudain, il dit sur un ton rugueux : « Salope, je veux que tu t’auto-humilies plus que ça ! Ça n’a pas été suffisant ! » Et il remonte l’escalier vite fait. J’attends, indécis, circonspect, même un peu apeuré : que manigance-t-il ? Vais-je devoir me fouetter moi-même, me badiner sur les cuisses, le dos… avec difficulté en comptant les coups et en disant « Merci, Mon Maitre » à chacun d’eux ?

Le voici qui redescend et il tient dans ses bras quelques vêtements, il me semble.

- « Voici de quoi te vêtir en bonniche, ma putasse ! Allez exécute rapidement. »

Je dois me travestir en bonniche de service. Je comprends : la tenue est déjà très humiliante ! De plus, me féminiser m'humilie énormément : LM le sait et je sens qu’il en jouit… de me voir être obligé d’enfiler ceci.

Sans dire un mot, sous le regard acéré du Maitre, qui s’assoit dans un grand fauteuil ancien, un peu délabré qui trône au bas de l’escalier dans cette énorme entrée, je passe sur mon corps nu la blouse de service.

LM ricane doucement, je le vois nettement car je le regarde dans les yeux pendant l’habillage. Lentement, je la boutonne dans le dos… mais LM intervient : « pas complètement salope, juste le haut, que ton cul soit facilement accessible ! ».

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- « Je ferai tout ce que tu veux, Maitre ! ».

Je fais ainsi qu’il le dit évidemment et je constate que pendant ce moment d’auto-humiliation LM prend un assez grand pied. Il a ouvert la braguette de son pantalon, sorti sa bite durcie et il se branle langoureusement.

Bien sûr, ce n’est pas la tenue de bonne de luxe, petit tablier à dentelles, léger bonnet sur un coiffe élégante ; non, il s’agit ici de la tenue de la bonniche connasse campagnarde retardée au service de son paysan d’homme lourdaud mais à la queue endiablée ! En effet, par-dessus, je dois mettre un grand tablier à bavette, bretelles croisées dos et un carré de tissu mis en fanchon sur la tête ! Là encore, pas de fins escarpins à talons comme les poules de luxe : non, pieds nus dans la crasse car l’entrée est aussi dégueulasse et souillée qu’une cour de ferme du XIXe siècle chez les paysans pauvres du Nord !

Je me trompe… pour les pieds. LM interrompt sa branlette langoureuse  et sort de son dos une ridicule paire de claquettes rose vif, certes extrêmement ravissante mais avilissante comme pas possible ! En rigolant, il me dit de les mettre aux pieds et de me promener avec. Je tourne en trainant les pieds dans l’entrée !

Il me dit sur un ton badin, ne pouvant s’empêcher de rire : « Marche avec dignité, connasse ! T’as trop l’air d’une tarlouze mal dégrossie, moins qu’une traînée, grosse truie gonflée ! » Merci pour les compliments et les insultes ! Mais comment faire autrement, comment être autre chose qu’une sous-merde rabaissée, dépréciée et souillon ?

Je suis une lope soumis passif obéissant avec une abjecte servilité à toutes les exigences de Mon Maitre, me comportant comme la plus infâme chienne. Mais le pire est sans aucun doute le plaisir monumental que j’éprouve à me faire humilier de la sorte. Mon incapacité à contrôler mes pulsions me fait abandonner toute dignité. Et je sais que ceci ne va pas s’arrêter là !


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Voilà, je ne suis plus qu’une bonniche ! Et j’attends les désirs du Maître.

Il s’interroge haut et fort en m’examinant : « Comment t’humilier davantage ? ».

Il réfléchit et j’attends, anxieux.

- « J’ai une idée ! » Il s’en va, monte l’escalier… et je l’entends farfouiller en haut. Au bout d’un moment, alors que je n’ai pas bougé, je le vois revenir avec des « choses » dans les mains.

Il crie : « À genoux, salope, mains derrière le dos ».

Je m’exécute et LM entreprends de me ligoter solidement les mains, puis le corps en m’entourant le buste d’une corde qu’il serre puissamment et qu’il fait ensuite passer jusqu’à mes chevilles. Je suis saucissonné !  Enfin, il me bâillonne avec des torchons, objets humiliants, et me traine à genoux jusqu’au radiateur de l’entrée. Là, il m’y fixe, avec d’autres cordes, en passant une autour de mon cou, heureusement sans trop serrer.

Puis il saisit un truc sur la table où il a posé les affaires ramenées du haut. C’est un écriteau d’écolier qu’il me montre ostensiblement et je vois nettement qu’il écrit dessus : lope de service. Il me passe l’écriteau autour du cou.

Je me rends compte, à la chaleur qui monte dans mon ventre et à ma bite qui se raidit un peu, que j’aime beaucoup cette humiliation : ne pas pouvoir me soustraire en étant ligoté est très humiliant, d’autant plus dans cette tenue. Je précise que je ne suis pas un travesti : je ne porte ses tenues uniquement que par humiliation. Je pense au même instant que j’adorerais que d’autres personnes me voient me faire humilier ainsi. Oui, super surtout si c'est fait en présence de plusieurs personnes qui m’insultent !

LM se rassied dans le fauteuil. Il me contemple un long moment. Je le devine très satisfait de lui. Puis il s’agite et me dit : « Que viens-tu faire ici ? » Je le regarde, hésitant, ne sachant pas quoi exactement répondre. D’ailleurs, je ne peux pas puisque bâillonné !

Il ajoute : « Dépêche-toi de répondre sinon la punition va tomber. » Il se lève, s’approche et m’arrache le bouchon de torchons qui m’empêche de parler.

Je fais fonctionner mes mâchoires, un peu bloquées, me lèche les lèvres pour les humidifier et bredouille, d’une voix un peu sourde et chancelante, pas très sûr de moi : « Je viens faire la bonniche. »

- « Bien, et encore ! »

- « La pute à votre service ! »

- « Oui évidemment, connasse, et autre chose ? »

Je ne sais pas quoi répondre. Il se lève brusquement, se rapproche très près de mon visage et me crache : « Répète mes instructions à voix forte ! »

D’une voix troublée mais forte, je dis : « Oui Maitre ! »

- « Tu es ici la bonniche de service, la pute à ma dispo et tu feras tout ce que je veux car tu es mon jouet ! Enfin, si tu as bien réussi, je te trairai douloureusement à la fin de ton service pour te remercier d’être une lope servile ! »

Je répète la phrase, ânonnant presque, me trompant. Je n’ai pas le temps de recommencer, en un éclair, LM me balance une gifle retentissante.

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Il hurle : « Tu sais que ma patience est très limitée. Ne m’oblige pas à répéter mes ordres. À moins que tu ne préfères être sévèrement puni ? Et en subir les conséquences de tes conneries ? »

- « Non, pardon Maitre. » Une seconde beigne, encore plus forte, me renverse la tête en arrière : la corde au cou m'enserre brusquement et je suis étranglé un instant. Je me mets à pleurer ; je voudrais pouvoir me frotter le cou et les joues.

Il rit : « Quelle lopette, moins qu’une femelle ! »

Brusquement, alors que je ne m’y attendais pas du tout, LM me détache rapidement. Je souffre, ça fait mal d’être serré aussi durement. Je me frotte partout. Ouf, ça n’a pas duré trop longtemps car la position était vraiment malaisée !

Je dois interrompre mes frottements pour me soulager car, à peine suis-je délivré, que LM crie : « À poil ! » et il se rassoit dans le fauteuil.

Totalement vaincu car fourbu et très las, j’ôte mon foulard sur la tête. Soumis, j’enlève le tablier, puis j’entreprends de défaire un à un les boutons de ma blouse. Une fois mes claquettes roses retirées, LM me dit : « À genoux, ma pute, les mains derrière la tête ! »

Je suis de nouveau à poil devant LM, rouge de honte de me sentir si vulnérable devant Lui qui me dévore des yeux. Il m’apparaît alors terriblement supérieur à moi, habillé, assis bien droit dans son fauteuil, alors que moi-même, à ses pieds, entièrement nu encore une fois, ne suis qu’une larve sans dignité, ma bite flappie, toute élégance, majesté, décence, distinction, honneur… perdus.

LM se réjouit de ce spectacle. Il me regarde intensément, je baisse les yeux. Il me fait attendre ainsi longuement puis déclare : « Je veux que tu dises : Moi, Armand, déclare être l’esclave et le jouet de Mon Maître Dan. Compris, bâtard ? Tu répètes 5 fois cette phrase en me regardant dans les yeux ! »

Je déglutis, sachant que là je m’engage dangereusement, puis je répète la phrase avec peine, en bredouillant.

- « Plus fort, je n’entends rien ! »

- « Moi, Armand, déclare être l’esclave et le jouet de Mon Maître Dan. »

- « Encore, articule bien. »

- « Moi, Armand, déclare être l’esclave et le jouet de Mon Maître Dan. »

- « D’une voix forte et claire, en me fixant bien droit dans les yeux », dit-il d’un ton doucereux.

- « Moi, Armand, déclare être l’esclave et le jouet de Mon Maître Dan. »

Et ainsi de suite, encore 5 fois.

- « C’est bien, mon esclave. Baisse le regard maintenant, garce ! Dorénavant, quand nous seront seuls, tu devras toujours baisser les yeux, compris ? »

- « Oui », dis-je, en m’exécutant.

- « Et tu devras aussi me vouvoyer, et tu m’appelleras toujours et continuellement Maitre, compris ? »

Je n’avais jusqu’alors jamais connu pareille humiliation. Pourtant, j’avais déjà joué les soumis, rencontré des types vachards et vicieux, et ce n’était pas la première fois que je venais à un rendez-vous avec ce Maitre (ça devait être la 4ème ou 5ème fois ?), mais jamais, je le répète, je n’étais tombé aussi bas. Malgré tout, je ne pouvais m’empêcher d’obéir, redoutant ce dont était capable le Maitre. Au fond de moi, j’étais même reconnaissant envers le Maitre et je redoutais de lui déplaire et qu’il ne change d’avis et ne veuille pas faire de moi son esclave !

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LM me dira plus tard qu’il a été étonné de ma soumission aussi rapide, moi qui ais, d’habitude, une allure si fière. Il ajoutera, lors de ces quelques confidences si rares, que mon regard à ce moment, autrefois altier, était devenu celui d’une biche apeurée et que j’étais aussitôt rentré dans le rôle du gibier chassé et éperdu. LM m’expliquera encore qu’il s’était dit qu’il serait stupide de ne pas en profiter au maximum. Il avait toujours rêvé d’être un Maître entouré d’esclaves, et le fait qu’il puisse en posséder un, qui plus est esclave sexuel, était pour lui non seulement très agréable mais, de plus, très excitant.

 

A SUIVRE

Par jovialbisesmotherfucker - Publié dans : exhib hard
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