Les aventures avec Mon 1^er Maitre (14) : Auto-humilié et bdsmé durement… mais j’aime ! (1re partie)

J’arrive chez mon Maitre, je sonne. La porte s’ouvre, j’entre et la referme à clé. Selon le rite institué depuis la première visite, Le Maitre (LM) est en haut. Je dois attendre ses ordres qui le plus souvent sont de me mettre entièrement à poil (même les chaussettes), d’enfiler mon collier, de prendre une dose de poppers et de monter à 4 pattes à l’étage où il m’attend la bite dressée et la badine à la main.

Je crie : « Comme d’habitude Maitre (M) ? ».

Il me répond sur le ton glacé habituel :

- Encore venu pour recevoir ta dose de bite, sale fiotte ? (LM adore m’insulter !) Tu vas en avoir de l’action : bdsmé douloureusement, torturé et popperisé, humilié et baisé comme un bon esclave sex que tu es, grosse merde !

Je n’attends que ça ! Je viens pour ça ! Donc je suis heureux !

Ce M avait deviné rapidement  qu’il pouvait faire ce qu'il voulait de moi, chienne docile et affamée sous son emprise totale, ayant besoin de savoir pour être heureux qu'il est Tout, qu'il possède tout de moi, que je ne suis plus rien sinon l'objet de son plaisir. Quand il avait envie de moi, quand il me désignait d'un geste impérieux sa braguette, amour, chaleur, ardeur et enthousiasme m'envahissaient et alors j’étais prêt à perdre toute raison, surtout s’il y ajoutait beaucoup de gazage au Poppers !   C’est lui qui m’a fait prendre conscience qu’il existe des êtres supérieurs, capables de nous dresser, nous les lopes soumises. Petit à petit, sous ses ordres, je suis devenu de plus en plus passif et soumis… enfin totalement obéissant et incapable d'avoir un rôle dominant ou actif. Je ne suis pas attiré par les Hommes et ne me sens pas homo du tout mais j'adore être dominé, salopé et humilié surtout devant d’autres voyeurs qui se moquent de moi et de ma situation de salope impuissante et même me brutalisent. J'aime les plans directs sans aucun préliminaire.

- Putasse, y’a ce qu’il faut sur la commode ! Mais on change un peu les habitudes. Tu vas t’auto-humilier, crevure !

- Je veux que tu commentes ton déshabillage en t’humiliant, crie-t-il depuis le haut.

- Bien M.

Aussitôt, j’entreprends d’enlever mes vêtements.

- M je pose mon blouson.

- Connasse, t’as rien compris, hurle-t-il immédiatement.

- J’ai dit auto-humiliation ! Alors utilise un vocabulaire de lope pour t’auto-humilier par les mots. C’est essentiel.

Il m’explique encore : « Une lope ne peut pas parler d'elle-même et se définir sans ces mots « vulgaires » utilisés dans le but de la rabaisser au maximum. »

- Donc, ajoute-t-il, ce qui est humiliant c’est que tu te déshabilles en commentant ce que tu fais et en t’auto-humiliant ! Compris, pauvre naze ?

- Oui M, je crois avoir compris. Et je reprends mon dévoilement qui doit être auto-humiliant !

- M, votre salope qui va se faire baiser enlève son pantalon.

J’entends un : « c’est mieux. »

- Maintenant j’ôte mon tee-shirt parce que je suis une lope obéissante qui doit être nu pour plaire à son M.

- Je continue ainsi : « j’enlève mon boxer M car je dois être à dispo total pour Vous et je dois, en tant que lope, exposer ma chatte de mec, très ouverte forcément, ça va de soi, M. Vous me l’avez expliqué, c’est le B.A BA du dressage. »

Ça ne me pose aucun problème de m’insulter et de m’auto-humilier comme le souhaite mon M. Ces insultes, tant les plus cinglantes que les classiques et traditionnelles, moi, la lope, je les entends dans la rue, les ramasse dans le caniveau, les fait miennes, les assume et y trouve mon identité. En effet, j'aime être humilié ! Et je m’y soumets complètement. La soumission, c'est quand la lope assume ses fonctions et ne censure plus son désir d'être lope. Alors les crachats de la rue sont proférés par le soumis lui-même, de l’intérieur !

- Je suis nu M, car je n’ai même plus mes chaussettes. Je me positionne en conséquence : absolument nu, le buste incliné bien bas et j’écarte mon cul pour montrer ma chatte de chienne.

J’entends LM descendre l’escalier sans rien dire. Il vient se coller à moi. D’une main, il saisit fermement le bas de mon visage et ses doigts s’insinuent dans ma bouche, comme un palefrenier qui vérifie la dentition d’une jument. Le geste est spécialement vulgaire.

- Il faut que tu saches, petite larve, que pour moi tu ne représentes rien d’autre qu’un tas de viande tiède.

Ses doigts s’insinuent plus loin, écartèlent ma bouche, tentent de saisir ma langue. J’ai des haut-le-cœur et je me mets à baver.

- Ce morceau de viande molle comprend des orifices comme celui-ci, qu’il me plaît d’explorer pour ensuite décider avec lequel je jouerai en premier. Est-ce que c’est clair ?

LM ponctue sa question d’une tape sur ma joue.

- Est-ce que c’est clair ?, insiste-t-il cette fois en me balançant une vraie gifle.

Je suis un peu affolé… mais je me résigne et je réponds un oui timide. Il me gifle encore.

- C’est très bien.

A SUIVRE