Vendredi 11 mars 5 11 /03 /Mars 19:00

Les aventures avec mon 1er Maître (12) : un tas de viande insulté en permanence

 

 

 

Ce fut une de ces séances formatrices, pénibles certes, mais qui me permirent de devenir la bonne lope soumise que je suis !

 

 

 

J’arrive chez toi Maitre. Tu  es placé en haut de l’escalier et je te dis  : « Comme d’habitude ? »

Tu me réponds sur un ton glacé et glaçant :

- Tu veux ta dose de bite, c’est ça ? Rassure-toi, tu vas en avoir de la bite et de l’action. Mais ici, c’est moi qui décide. Alors tu commences par la mettre en sourdine et tu ravales tes airs de pimbêche. Pour le moment, tu réponds à mes questions et tu fais ce que je te dis… Tout ce que je te dis. C’est vu ?

Mon visage s’empourpre, surpris de ce haussement de ton. Pourquoi ? Que se passe-t-il ? Mais un soumis doit fermer sa gueule, mon Maitre a raison, et obéir !

Tu descends l’escalier sans rien dire et tu viens te coller à moi. D’une main, tu saisis fermement le bas de mon visage et tes doigts s’insinuent dans ma bouche, comme un palefrenier qui vérifie la dentition d’une jument. Le geste est spécialement vulgaire.

- Il faut que tu saches, petite larve, que pour moi tu ne représentes rien d’autre qu’un tas de viande tiède.

Tes doigts s’insinuent plus loin, écartèlent ma bouche, tentent de saisir ma langue. J’ai des haut-le-cœur et je me mets à baver.

- Ce morceau de viande molle comprend des orifices comme celui-ci, qu’il me plaît d’explorer pour ensuite décider avec lequel je jouerai en premier. Est-ce que c’est clair ?

Le Maitre ponctue sa question d’une tape sur ma joue.

- Est-ce que c’est clair ?, insiste-t-il cette fois en me balançant une vraie gifle.

Je suis un peu affolé… mais je me résigne et je réponds un oui timide. Il me gifle encore.

- C’est très bien.

LM me dit de me mettre à poil. Je m’exécute immédiatement. Dès que je suis nu, subitement, il attrape l’un de mes tétons et le pince méchamment, je hurle !

- Putain, je vais te les travailler tes seins, ma salope !

Et il saisit l’autre, le pince aussi et le tort. Je me tords de douleur. Ce salaud me fait horriblement mal et il sourit, goûtant mes geignements.

Il me saisit par les cheveux et me tire la tête en arrière.

- Cambre un peu qu’on voit ce que ça donne.

Il me pince encore plusieurs fois les seins puis, tirant plus fort sur mes cheveux, me force à me mettre à quatre pattes sur le sol.

- Et ça donne quoi quand tu te mets en position ? Ouais, c’est pas mal. Bouge ton cul de putasse pour voir.

Et il m’administre un violent coup de pied dans le derrière.

- J’ai dit bouge, petite pute !

Je me dis alors que cette fois le jeu est vraiment commencé et qu’un soumis doit obéir sans discuter. Je m’agite du cul pendant que le Maitre tourne autour de moi en ricanant.

- Tu parles d’une bonne larve !

Nouveau coup de pied dans les fesses, encore plus violent. Je pousse un cri de douleur et manque de perdre l’équilibre. Je dis mollement :

- Mollo quand même.

Je me prends une claque. Le Maitre me regarde sans tendresse aucune et me crie aux oreilles :

- D’abord, salope, apprends que tu dois dire Maitre quand tu t’adresses à moi ! Et, s’il vous plaît de plus quand on veut quelque chose ! Alors reformule !

- SVP Maitre, plus doucement.

- C’est mieux ! N’oublie jamais sinon ce sont des punitions… et de plus en plus dures !

Je suis toujours à 4 pattes, à poil ! LM me dit d’écarter mes fesses et d’exhiber mon trou du cul. Je deviens très docile et m’exécute, écrasant mon visage au sol pour libérer mes bras et pouvoir tirer sur mes fesses. LM est derrière moi, il presse du pied sur mes lombaires pour me faire cambrer puis, sans gêne, passe un orteil entre mes fesses, descend sur mes couilles et ma verge. Ses doigts de pied jouent avec mon gland et je sens qu’il recueille quelques gouttes de mon excitation.

- Vise un peu dans quel état elle est déjà cette cochonne !

En effet, je suis, malgré les coups, excité. Enivré, le Maitre se penche et se met à me tripoter sans vergogne. Penché sur moi, il me saisit la bite, la tâte, la manipule, je commence à bander puis il me presse les couilles et c’est moins agréable car il y va un peu fort. Enfin, il s’approche de mon trou, y glisse un doigt d’un coup, surpris je serre les fesses, prends une grande claque.

- Laisse-toi faire, putasse !

Il fouille mon intimité de façon très obscène, enfonçant ses doigts sans gêne et sans précaution, me faisant gémir à la fois de douleur et de plaisir.

- T’emballe pas la truie, on a encore à faire ! Alors si tu veux un conseil, ne gaspille pas ton jus !

Il sort ses doigts de mon cul, les essuie sur mon visage et s’empare de nouveau de mes cheveux, m’obligeant à me relever.

- Tu sais que t’as l’air de ce que tu  es, une bonne cochonne ! Je vais te former, t’inquiète ma salope ! Et de seulement cochonne tu deviendras pleinement lope !

- Tu joues le fier ? La fierté, chez une lope, c’est aussi désagréable qu’injustifié… C’est ce qu’il faut briser en premier… Branle-toi, ma chienne !

J’obéis immédiatement.

- Tu mouilles ?

- Oui, Maitre.

- Ça se tripote la bite devant quelqu’un que tu connais à peine et ça joue les fier ! Y’a qu’une énorme larve qui peut faire ça. C’est ta perversité qui est énorme, même si t’as un petit cul. Tu comprends ça, grosse putasse ?

Les insultes de mon Maitre me donnent une sorte de nausée. Je n’ai pas l’habitude et je vais devoir accepter complètement !

- Oui, je crois, Maitre.

- Alors dis-le, que t’es une grosse cochonne et une grosse salope.

J’hésite…

- Allez bordel ! Dis-le ce que tu es ! Je t’écoute.

- Je suis une grosse cochonne et une grosse salope, Maitre.

Il rigole.

- Parfait. Tu es une docile toi, hein… ?

Il saisit le bout de mes seins et s’amuse à les tirailler dans tous les sens.

- Le genre de lope soumise qui fait tout ce qu’on lui dit et qui accepte tout sans broncher, c’est ça… ?

Je gémis sous la torture infligée à mes seins. LM me balance deux gifles à la volée qui manquent de me faire perdre l’équilibre.

- Réponds, pouffiasse… !

- Oui, je pleurniche, quand je suis excité.

Il plaque sa main entre mes cuisses, me serrant teub et couilles.

- Ah ça, excité, on peut dire que tu l’es.

Et il se met à me branler vigoureusement et durement, enfonçant profondément ses doigts dans ma verge.

- Laisse-toi faire !

- Doucement, s’il vous plait Maitre !

- Tu obéis sans rien dire sinon je te balance dans la rue à poil !

Le Maitre retire sa main et me pousse brutalement, je chois sur le tapis.

- Fous-toi à 4 pattes comme une chienne avec le croupion bien relevé, ma lope !

Je me contente d’obéir aux ordres et lorsque je suis dans la position exigée, le Maitre reprend ses odieux attouchements. Il enfonce le pouce dans mon cul, le fait aller et venir plusieurs fois et brutalement y plante trois doigts. Je crie ! Il me claque avec l’autre main !

Lorsqu’il les ressort, il me les présente devant le visage.

- Lèche ton foutre, grosse pute ! T’as pas honte de te mettre dans de tels états ?

Docile, je lape avec avidité ses doigts.

- T’aime ça ma garce ! Je sens qu’on va bien s’amuser, tous les deux.

Il m’empoigne par la chevelure et m’embrasse à pleine bouche.

Puis, sans lâcher mes cheveux, il commence à arpenter la pièce de long en large en me traînant derrière lui et hurlant comme si une foule nous entourait :

- Mesdames et messieurs ! Voici une lope de premier choix. Regardez un peu comme elle bouge bien.

Il court presque dans la pièce, sans me lâcher… donc je tente de galoper à 4 pattes de manière grotesque. Il hurle de plus belle :

- Je vous la propose pour pas cher ! C’est ma putain ! 50 € quel que soit le trou ! Où vous voulez, quand vous voulez, avec qui vous voulez !

Je finis par trébucher et me retrouve à plat-ventre ; LM me traîne encore sur plusieurs mètres puis, toujours en me manœuvrant par les cheveux, il me force à me mettre à genoux et se recule de quelques pas.

- Mais à 50€ le trou, il faut de la marchandise qui fonctionne. Tu suces bien ?

Il dégrafe son pantalon et sort sa grosse verge.

- Viens me sucer, grosse salope.

J’avance sur mes genoux et saisis le sexe bandé avec ma main… mais, au même instant LM me  balance une mandale qui me fait tomber sur le côté. J’ai mal et j’en ai les larmes aux yeux.

- Je ne t’ai pas dit de me branler, salope ! Reviens ici, mets tes mains dans ton dos et sers-toi uniquement de ta gueule. C’est compris ?

J’obéis sans protester. J’engloutis la bite raide et commencer à sucer.

- Pas si mal ! T’as déjà fait ça souvent, putasse ?

- Non, pas très souvent mais j’aime bien !

- C’est juste ma bite qu’il te fallait ma pute. Pas vrai qu’il te fallait ma bite ?

J’acquiesce.

- Salope !, jubile le Maitre. T’avais vraiment besoin de quelqu’un qui sait te prendre en main !

Il me saisit la tête à pleine main pour s’enfoncer plus profondément dans ma bouche, j’ai un haut-le-cœur.

- Ouvre ta gueule, lope !, dit-il sans me lâcher.

Je me mets à tousser et à baver. Le Maitre s’arrache alors de moi et me gifle plusieurs fois avec violence.

- T’arrête de foutre ta langue en travers !

Il enfonce plusieurs doigts dans ma bouche pour l’écarteler.

- Tire la langue ! Tire la langue, je te dis. Comme une chienne.

J’obtempère. Son visage est grimaçant, il me pince le nez pour m’obliger à respirer par la bouche en l’ouvrant très grand.

- Tu restes bien comme ça, la chienne.

Et il enfonce à nouveau son sexe bandé au plus profond de ma gorge puis commence un furieux va-et-vient en m’agrippant solidement la tête. Je me débats, émets quelques cris et gémissement étouffés puis vomis. Le Maitre se met à râler vulgairement sans pour autant me lâcher la tête, au contraire accentuant sa prise.

- Ah que c’est bon… ! Vas-y, dégueule encore, connasse. C’est chaud sur ma bite, j’adore !

Puis il me lâche et me laisse reprendre ma respiration.

- T’es pas un champion, va falloir que je te forme !

Il me saisit à nouveau par les cheveux et m’attire sans ménagement contre lui.

- On reprend. Bouffe-moi un peu les couilles, pour voir.

Il me maintient le visage contre son entre-jambes.

- Allez, salope, ouvre la gueule et aspire mes couilles, je te dis ! Voilà, comme ça. Prends-les bien en entier, c’est ça. Aspire bien. Charogne que c’est bon! Tu sens comme elles sont bien pleines ?

Il se masturbe au-dessus de mon visage pendant un moment en râlant vulgairement de plaisir, puis il me tire la tête en arrière. Il se tourne et me tend son postérieur.

- Maintenant bouffe-moi le cul. Lèche mon trou, grosse cochonne.

Je grimace et fais non de la tête. LM m’administre deux claques sonnantes puis tenant ma tête à deux mains, il me plaque son entre-fesses sur mon visage.

- Tu comprends ce que je te dis, saloperie ? Tu sors ta langue et tu me nettoies le trou, c’est vu ?

Résigné une fois de plus, je cède.

- Ah que c’est bon. Oui, vas-y, encule-moi avec ta langue. Ô que t’es vicieux !

LM savoure l’odieuse caresse quelques instants puis se retourne.

- Maintenant, tu vas me finir, ma salope. Tu vas me sucer !

J’acquiesce d’un hochement de tête et entame une fellation en y mettant une ardeur que je ne me connais pas jusqu’ici.

- Voilà qui est bien. Tu vois que tu peux. Tu feras une bonne pute, je te l’enseignerai.

Je mets tout mon cœur à l’ouvrage. A genoux devant LM, je lui fais la plus belle fellation jamais vue. LM râle de contentement.

- Putain, t’es bonne. Vise comme elle me suce bien cette putain. Elle va me vider les couilles cette salope. Oui, oh oui, je sens que ça vient. Ouiii !

Je  tente alors de me retirer comme je le fais habituellement mais le Maitre ne le voit pas ainsi. Il me plaque les deux mains sur la tête et la maintient fermement.

- Bouffe tout salope ! Ah, que c’est bon !

Je me débats et frappe du poing sur la cuisse du Maitre. C’est la première fois que j’avale et ça me dégoûte un peu, cette crème gluante et chaude. Mais LM ne lâche pas prise, me tenant jusqu’à son dernier spasme de plaisir.

- Si tu recraches une seule goutte, ma lope, dit-il encore avant de me libérer, je te fais lécher le sol.

J’avale tant bien que mal en grimaçant.

- Ouvre et montre si tu es obéissant.

J’ouvre la bouche.

- Voilà qui est bien. Tu vois, petite putasse que c’est facile. C’est la première fois ?

J’acquiesce en baissant les yeux, gêné.

- C’est très bien, dit-il en s’essuyant le sexe à mes cheveux. Ça me plait.

Il me repousse brutalement du pied.

- Maintenant tu nettoies tout ce bordel et tu vas te doucher, tu pues. On reprend dans un moment. J’ai d’autres jeux à te montrer et je vais faire chauffer ton cul, ma salope. Tu vas savoir ce qu’est un bon Maitre.

Par jovialbisesmotherfucker - Publié dans : exhib hard
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