Lundi 18 avril 1 18 /04 /Avr 12:26

Mes aventures sans Maitre (4) : ma soumission par un couple Dom dans un club de sexe

 

Pour ma soumission par ce Couple Dom (Voir « Mes aventures sans Maitre (2 et 3) : ma soumission par un couple Dom dans un club de sexe »), nous avons donc fixé une date par échange de mails et ils m’ont fourni une description détaillée de ce qu’ils désiraient obtenir : obéissance totale dans le respect des limites évidemment, déshumanisation pour que je ne sois plus qu’un objet sexuel offert au plaisir des autres, utilisation maximale… Ils m’ont aussi signalé les objets dont ils comptaient se servir, essentiellement des godes dont ils possédaient toute une panoplie achetée, m’ont-ils expliqué, sur un des meilleurs sites sur internet, une boutique allemande : Meo (https://www.meo.de/fr/), avec des produits de qualité mais un peu chers !

Ce jour-là, un vendredi vers 17h, nous y sommes allés. Évidemment ce moment a été choisi soigneusement pour qu’il y ait un maximum de monde… ce qui est le cas un vendredi à cet horaire, entre 16 et 20h, comme l’avait indiqué le responsable du sex-shop au Couple Dom. Il y avait d’autant plus de monde que le couple avait fait passer une annonce dans Vivastreet du style : « Jeune Couple Dom vient vendredi 11 décembre à 17h avec sa Lope soumise qui sera exhibée et offerte à poil et en laisse. Venez nombreux prendre plaisir à utiliser Notre pute gratuite. Mais SSR (sodo avec capote, suce sans mais on gicle sur visage ou corps) ».

Au RDC, l’arrière-salle est une sorte de  grand rectangle imparfait fractionné dans sa longueur par 2 allées parallèles autour desquelles se répartissent des box et backrooms ouvertes, semi-fermées ou presque encloses. Des rideaux épais ou, pour certains box, des portes que l’on peut ou pas fermer, découpent l’espace et bien sûr, au centre de l’ensemble, des niches noires composent des glory-hole aux ouvertures de diverses tailles. Par rapport à l’accès, le coin du fond à droite forme un carré élargi où deux banquettes et des fauteuils sont disposés, deux grands écrans en hauteur sur les murs diffusant des vidéos de gays s’emmanchant méchamment. Au-dessus, le sex-shop comprend une autre salle, plus petite que celle du RDC, dans laquelle on accède par un petit escalier. Là, une seule allée droite divise le tout : des box divers avec fauteuils ou matelas dans l’un, toujours des postes de vidéos partout, et même un mini-bar pour les soirées de fiesta. Enfin, dans le box le plus grand, on trouve un magnifique sling, large, épais et tenu par de grosses chaînes, et un grand bac à douche avec le nécessaire pour lavement et autres amusements.

Quand nous entrâmes dans l’arrière-salle, je ne me rendis pas compte qu’il y avait beaucoup de mecs… puisqu’ils étaient plutôt répartis dans les pièces du fond et que nous nous dirigeâmes immédiatement à gauche vers un renfoncement du coin du rectangle où sont les toilettes et les casiers.

- « À poil intégral », me dit aussitôt la fille du Couple. C’était surtout elle qui dirigeait la manœuvre comme je m’en rendis compte. À mon habitude, je m’exécutai sans rechigner, habitué que je suis maintenant à bien obéir à tout dominant qui l’exige !

Le mec ouvrit un casier et j’y rangeai mes vêtements, chaussures sauf la cagoule que je gardai en main… En effet, comme convenu avant, puisque étant dans le principal sex-shop de ma ville, j’allai porter une cagoule que j’enfilai immédiatement : une sensationnelle cagoule en cuir confortable. Pendant ce temps, le gars referma le casier et y mis un cadenas. Il se retourna vers moi, je luis tendis les deux éléments obturateurs en cuir. Il clipsa celui pour les yeux, je ne vis plus rien alors et sans doute garda-t-il l’autre car j’avais la bouche libre, ce qui était indispensable en effet pour ce qui allait suivre. J’étais à leur entière merci, m’abandonnant totalement à leurs souhaits.

Entièrement nu face à eux, je sentis que l’un deux me passait autour du cou un collier de chien auquel il attacha la laisse. À des respirations haletantes et à un épaississement de l’atmosphère, je remarquai la présence de quelques personnes que ce manège avait attirées … Sans doute certains, avides de se farcir la pute, se repaissaient-ils par avance de mon « larvage ». Mais j’étais là par plaisir, avide moi aussi, de jouer l’objet sexuel et d’être bien salope au service de tous ! J’aime cet état d’avilissement, à condition qu’il se fasse en sécurité. Mais le Couple Dom me paraissait sérieux : ils ne me lâcheraient pas et me surveilleraient attentivement ; nous avions fixé nettement les limites.

Puis ils m’attachèrent les bras dans le dos et enfin la fille dit : « Un petit coup de Poppers ». Oh que oui, j’adore trop ça ! Elle ajouta : « On va bien te gazer… et c’est du bon ! » Je répliquai : « Ouais, gazez-moi bien Maitresse, rendez-moi bien chienne, que je sois la truie de service ! »

- « T’inquiète, salope, on va pas te rater et vu le monde va falloir que t’assures et on y veillera, grosse merde ! »

Lui me dit : « Ça t’excite, hein, de te faire baiser la gueule au milieu d’un sex-shop ? » J’opine et il ajoute : « tu vas aimer ça et en vouloir encore, hein grosse chienne ? ». Je dis : « Oui, oui, oui, vite, veux me faire baiser, suis une pute ! »

Elle appliqua le flacon contre ma narine et j’inspirai longuement puis l’autre narine. Et elle recommença : oh le coup de chaud, l'accélération soudaine des battements du coeur, je planai... j’étais parti… prêt à toutes les folies et bassesses. Soudainement, alors que je tanguai un peu sous le coup de l’euphorie du poppers, elle me tira brutalement et la déambulation commença. J’avançai assez facilement dans les allées étroites bien que n’y voyant rien, car elle me tenait serrée près d’elle, la laisse courte. Surtout le gars était sur le côté mais légèrement derrière moi, me guidant au besoin avec ses mains sur mes bras. De toutes façons, je n’aurai pas pu m’écarter beaucoup : il y avait en effet plein de mecs, alignés au long des allées. Je les frôlai et des mains baladeuses se posaient sur moi au passage : particulièrement sur mes fesses et bas  du dos, sur les cuisses, ma poitrine et ma bite. Rares furent les attouchements  sur mes épaules, mon cou ou mes joues. Le plus souvent, il s’agissait de simples frôlements mais sur les fesses j’eus des caresses plus appuyées et aussi des pincements. Quelques doigts essayèrent de se glisser dans ma raie du cul, un ou deux poussant même jusqu’à mon trou... mais sans avoir le temps de pouvoir s'y glisser. Évidemment, et heureusement, j’eus droit à des insultes, souvent les mêmes : salope, chienne, trou à bites, sale merde, grosse pute…

Ça me sembla long… nous avons dû faire le tour, bien lentement, de toutes les allées du bas… Les caresses devenaient plus lourdes, plus soutenues et j’eus droit à quelques claques sur le cul ! Lentement, sans doute avions-nous fini le tour, la fille me fit faire demi-tour et nous repartîmes dans l’autre sens.  Je sentais une masse agglomérée de mecs, bruissant et éructant... aussi je devinais que nous étions dans le coin carré. Ils m’insultaient bruyamment et demandaient quand enfin on allait pouvoir me baiser tandis que le Couple Dom me poussait contre le mur et que j’entendais au-dessus de moi l’un des écrans diffusant un film.

Le public se tut brusquement... car la fille s’adressait au public : « On a envie de vous faire une petite exhibition un peu hard de notre salope. » Malgré la convoitise des mecs, le Couple prenait son temps ; il me sembla que leur impatience se calmait un peu ; ils attendaient de voir si le spectacle proposé valait le coup et les exciterait un peu. Le Couple me colla face au mur puis me fit m’incliner. Me donnant des instructions d’une voix assourdie, je dus m’écraser le visage contre le mur : ça me déplut car l’odeur était vraiment désagréable, voire puante. Puis l’un deux m’obligea à me casser en deux, le dos presque à l’horizontale, et à éloigner mes jambes du mur, me les faisant ensuite écarter au maximum. J’avais ainsi mon cul bien offert et bien en vue pour le godage qui allait suivre. Derrière moi, ça se mit à siffler et à insultait encore plus : étaient-ils agacés de nouveau par ce cérémonial ? Quand je fus en position, je devinais, puisqu’ils me l’avaient dit lors de la préparation, que le Couple enfilait des gants, sortait leurs godes du sac et allaient me défoncer le cul devant tous les autres, me préparant bien le trou du cul pour les affrontements futurs. J’entendis des mecs dire : « Plus vite », « Pressez, on veut le baiser », etc. D’autres avaient sans doute commençaient à se branler et étaient excités par ce que le Couple avait l’intention de me faire : une simple petite préparation ou allaient-ils me massacrer le cul ?

Ils avaient du matos, je le savais, et peut-être que les quidams rassemblés là s’en rendaient compte. En effet, ça se calma et la masse sembla plus attentive… espérant avec espoir quelque originalité de ce couple Dom ou peut-être, plus sûrement, quelque brutalité, cruauté ou même bestialité envers la larve sexuelle offerte.

Avant de commencer, ils approchèrent le flacon de mes narines et aussitôt je reniflai goulûment plusieurs fois. Super, encore du poppers, j'étais excité et prêt  à toute défonce...qu’ils fassent ce qu’ils veulent de moi ! Je sentis deux mains m’écarter les fesses et exhiber ma raie et mon trou au rassemblement, maintenant rapproché, si bien que la fille dit : « Écartez-vous un peu que je puisse le goder à mort ». Un doigt se glissa doucement dans mon trou et fit des va-et-vient ! Puis les mains me graissèrent le cul avec un gel lubrifiant, crémeux et excitant. Il m’en avait donné le nom mais j’avais oublié, retenant de ce qu’ils m’avaient expliqué que ce lubrifiant était un gel ultra longue durée et ultra-glissant éprouvé, augmentant la sensation de bien-être personnel, produisant une sensation de douceur et de souplesse sur la peau et prévenant contre les douleurs lors des relations anales. Super, non ? Qui n’aurait pas envie de se faire enculer par une multitude de queues avec un tel produit ?

Est-ce la fille qui m’en tartina grandement autour du trou et à l’intérieur. Je ne sais mais ce fut  bien fait, avec plaisir et application. J’étais prêt, le couple pouvait profiter de moi à fond et prendre leur pied à me goder à mort devant le public assez chauffé, il me semblait !

Elle (il ?) introduisit d’abord un plug modeste qui glissa dans mon cul très aisément… qu’elle (il ?) retira aussitôt. Je n’avais pas senti grand-chose, j’avais moi aussi hâte que l’on passe aux choses sérieuses, qu’on m’échauffe sérieusement le cul et qu’on me le démonte enfin. J’étais là pour ça ou pas ? Je n’aime pas les caresses, la tendresse, la délicatesse. Il me faut du  dur, du vigoureux, du bourru et même de la douleur ! Bien que lope, je ne suis pas une lopette !

Enfin, quelque chose de plus gros qui résistait à l’introduction ! Elle avait choisi bien plus gros et long… C’était facilement du 5 de diamètre et elle dut pousser un peu pour que ça entre. Que c’était délicieux, cette sensation d’être rempli complètement. Enfin !

D’un coup les va-et-vient furent plus rapides et plus puissants : ça devenait un vrai travail du cul, du godage intense et les sensations s’accroissaient nettement jusque dans le dos et les cuisses. Était-ce le mec actuellement ? J’entendais des « ouais, vas-y », « c’est bien », « plus fort », « casse-lui le cul », etc. J’avais mal au visage et au cou car j’étais aplati contre le mur ; je devais m’équilibrer et repousser l’assaut avec ma tête, c’était pénible et malaisé ; de plus, je devais contrôler ma respiration afin de bien souffler quand il m’enfonçait durement le gode.

Il (elle ?) le retira d’un seul coup et je faillis tomber. Ouah, j’avais mal, ça avait bien duré 10 mn à fond. Était-ce fini ? Non. La tête de la fille s’approcha de la mienne, je pus me redresser un peu, ouf, et tourner le cou… Elle m’expliqua comment je devais m’installer présentement… j’étais un peu étonné sur le coup mais bon, je devais obéir…

Pour la nouvelle position, l’un d’eux me détacha les bras ; j’en profitai pour les bouger un peu car ils étaient endoloris ; ils n’avaient pas hésité à les tirer haut en arrière et c’était douloureux. On me prit le nez et je compris que j’allai avoir enfin une nouvelle dose. Très bien, j’allai oublier mes élancements. Je sniffai longuement dans chaque narine, et on me fit recommencer 2 fois. Ça tournait, je secouai la tête, c’était bon... je flottai : que tous m’enculent à fond ensemble, qu’on me désosse et m’arrache la peau !

Je mis quelques instants pour comprendre qu’il fallait que je prisse la position indiquée. Je m’accroupis, heureusement soutenu par leurs mains, basculai  en arrière sur le dos, rapprochai mon cul le plus possible du mur… et ils me prirent par les jambes pour m’aider à me coller le dos contre la paroi, mes jambes en l’air, le cou plié une nouvelle fois et l’arrière de la tête posée sur le sol. Ils s’installèrent de part et d’autre de moi, me soutenant indirectement mes jambes qui retombaient au-dessus de moi, qu’ils écartèrent grandement. Voici, j’étais la larve soumise dans une position humiliante, prêt à quoi ?

On me regraissa le cul et m’introduisit un autre gode qui au départ ne me sembla pas plus gros que le précédent. Je me trompai… car il s’agissait d’un gode gonflable… et je le sentis vite ! Ouah, non seulement ça enflait mais ça s’allongeait aussi !  Rapidement, j’eus l’impression qu’un bras s’était introduit profondément dans mon cul jusqu’à mon diaphragme et que j’étais empalé à l’envers. Je soufflai fort, jamais je n’avais eu  si gros, loin  de là… puis j’ai geint et ai demandé d’arrêter. Ils n’ont pas arrêté mais ont dégonflé un peu le gode, c’était plus supportable même si très désagréable et assez infernal. Je continuai à souffler fort, et aussi à suer, j’avais mal d’une façon que je n’avais pas encore connue et ça me transperçait du trou du cul jusqu’aux épaules, d’autant plus que j’avais très mal au cou dans cette position incommode.

Je me dis que même dans cette position, j’allais leur chier à la gueule, c’était insupportable, il fallait  que ça sorte…  Mais j’avais prévu… faisant avant de venir plusieurs lavements : un long avec beaucoup d’eau, restant accroupi comme sur un chiotte turc longuement pour rejeter toute l’eau accumulée ; puis un lavement court avec peu d’eau que j’avais gardé une dizaine de minutes en moi avant de tout évacuer. Je dois dire aussi que je n’avais pas mangé depuis le matin, évitant d’accumuler dans mes intestins trop de déchets. Ainsi n’avais-je plus rien à l’intérieur… si ce n’était la forte sensation d’avoir envie de chier copieusement ! Et la douleur rebutante !

Pendant que je souffrais, l’un des deux m’avait saisi la bite et me branlai fortement… puis douloureusement, la serrant férocement ! Je fis un effort pour me détourner de la douleur et je compris que le public appréciait l’avilissement que je subissais : ça applaudissait, sifflait, insultait et encourageait mes lopeurs à aller encore plus loin dans l’abjection et la torture ! Voilà qui me redonnait du cœur à l’ouvrage. J’aime être exhibé et abaissé salement, être dégradé en public, je n’en éprouve aucune honte puisque mon statut m’oblige à accepter brimades, vexations, outrages, insultes, indignité et déchéance. 

La branle s’accélérait encore, j’étais bien dur bien que je souffris de partout dans mon corps, le poppers ne faisait plus aucun effet depuis longtemps et pas question d’en reprendre dans cette position. La fille Dom dit : « Ouvre la bouche, salope ! »

J’écartai au maximum et tirai la langue, ça me fit encore plus mal au cou… mais je ne sentais presque plus la souffrance dans mon cul. J’allai… je ne peux pas dire jouir car le plaisir n’y était pas vraiment… mais me vider, trait par une main experte… Oh, oui, ça sortait… je râlai profondément tout en essayant de garder la bouche bien ouverte comme me le répétait la fille d’une voix autoritaire.

- « Bouffe ton jus, pouffiasse », dit-elle et je reçus une partie de ma crème tandis que le reste s’éparpillait en gouttelettes un peu partout, le type (sans doute) continuant à tirer comme un malade sur ma bite, la maltraitant en la tordant, si bien que la faible jouissance de l’éjaculation laissa très vite la place à une nouvelle douleur. C’était dur, j’avais mal partout de nouveau et  hâte de pouvoir abandonner cette posture. Ce qui m’arriva aussitôt puisque l’un deux prit l’une de mes jambes et me tira vers le sol ; je tombai d’un seul coup sur le côté en chien de fusil, attendant ainsi pour récupérer un peu. Ils durent comprendre mon souhait car ils ne me firent pas relever tout de suite alors que j’entendais des voix qui disaient : « Donnez-le », « On va se le faire ou pas ? », « Qu’on le baise enfin », etc.

Je me relevai un peu péniblement, aidé par le Couple Dom. La fille dit au public : « Ça arrive… », mais je sentis quelque chose près de ma bouche, je crus que c’était à nouveau le flacon de Poppers, c’était une bouteille d’eau et j’en avais bien besoin. Je bus goulument… et c’est alors que l’un d’eux me mit sous le nez le poppers. J’en sniffai plusieurs longues inhalations… des bulles et de la chaleur partout dans le cerveau et le corps, un rythme cardiaque brutalement accéléré et une bouffée vertigineuse : j’étais totalement désinhibé et remis en état de servir !

 

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Par jovialbisesmotherfucker - Publié dans : exhib hard
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