Vendredi 13 mai 5 13 /05 /Mai 18:45

Mes aventures sans Maitre (8) : ma soumission par un couple Dom dans un club de sexe

 

 

Je me dis que je dois profiter de ma déchéance à fond : j’aime trop ça ! Ça me rassérène ! Enfin, je pourrai me vanter d’être allé plus loin que jamais dans l’humiliation ! (VOIR Mes aventures sans Maitre (7) : ma soumission par un couple Dom dans un club de sexe)

Je m’installe donc dans la position exigée et ils tirent mes jambes pour me redresser, en appui sur le cou, le dos calé sur la paroi.

C’est très malaisé, bien plus que tout à l’heure : suis fatigué et n’ai plus le même désir, d’autant plus que mon cou et le haut du dos appuie sur le bac dur et froid et que ça rend encore plus pénible la position. Ils doivent le constater car je sens des mains qui me saisissent les jambes et m’aident à me maintenir en même temps qu’elles m’écartèlent durement. Combien de temps vais-je souffrir ainsi, offert complètement à leurs regards et leurs envies sexuelles destructrices ?

J’oublie aussitôt mes pensées négatives car des doigts s’introduisent dans mon trou et une main gantée m’oint le cul avec le fameux gel : ça me fait du bien.

Vraiment super ce produit ! Sa main (la fille ? sans doute car la main est fine) me fiste presque, tellement elle introduit profondément le gel ! Puis c’est le gode… jusque-là tout se passe bien… puis elle (il ?) gonfle… vite et fort !

Ouah, la sensation d’embrochage revient subitement et grandit d’autant qu’elle continue à faire enfler le gode. Sensation d’un fist intense : on m’enfile tout le bras, ce n’est pas possible !

Je me mets à souffler fortement et n’y tenant plus, je crie :

- « Maitresse, s’il vous plaît, ç’est trop dur ! »

Après, à la fin de la séance, en me lavant dans les toilettes, la fille me dira que le gode est appelé « Gargantula », ajoutant en rigolant qu’elle était loin de l’avoir utilisé au max !

Plus tard, chez moi, je suis allé voir, sur le site de Meo, le fameux gode que j’ai eu dans le cul. J’ai compris pourquoi j’ai souffert et aussi progressé dans la dilation anale ! Ce gode gonflable noir diabolique de MEO-TEAM est certes excitant mais il double de volume lorsqu’il est gonflé ! Au début, encore assez mince quoique… car dégonflé il a un diamètre de 7 cm… ce qui n’est pas rien et loin d’être absorbé ainsi par n’importe quel trou du  cul non formé !, tu l'insères en toi (longueur 36 cm !), ensuite tu le pompes jusqu'à la taille d'un poignet avec la balle pratique, jusqu'à ce qu'il soit aussi long et grand que le bras d'un homme... jusqu'à ce qu'il te remplisse totalement (gonflé : diamètre 14 cm, longueur 40 cm) !

Attention, la fille m’a dit qu’elle ne l’avait pas gonflé à fond et d’ailleurs je ne l’aurais pas supporté : au-delà de 8-9 cm (ce qui est déjà pas mal du tout), je ne peux pas ! On comprend qu’il faille, pour faciliter la pénétration, un gel lubrifiant efficace (de MEO EZ2 FUCK).

 

Je ressens le trouble qui gagne les personnes qui sont encore là (et les nouvelles ?) : qu’est-ce qu’elle se prend la lope ! Ça les excite maladivement ! Quel spectacle de cirque antique que ce mec qui est humilié au point de subir des abjections comme dans les textes du Marquis de Sade !

J’expire énergiquement, je geins… je souffle encore, je pleurniche… je quémande inutilement en un murmure dérisoire :

- « Maitresse, s’il vous plaît… »

Mais la fille a son moment de sadisme… le gode s’allonge et enfle encore ! Insupportable : vais chier, dégueuler, ça va sortir de partout… même par les oreilles ! Le monstre enfoncé dans mon corps me vrille toute la tête d’une souffrance inconnue… quel calvaire !

Je commence à paniquer, je supplie encore, mais je n’obtiens que des rires… et un gonflement supplémentaire du gode démesuré.

Gardant assez de sang-froid pour rester poli afin que Maitresse ne s’enflamme pas totalement et ne m’ouvre le ventre, je supplie en haletant :

- « Maitresse… s’il vous plaît… mon ventre, mon cul… ils vont exploser, se déchirer… vais crever, SVP ! »

Elle rit encore, la salope, les autres aussi et elle m’annonce sarcastiquement :

- « T’inquiète la lope, y’a encore de la marge ! »

Elle ajoute :

- « Vas-y ma lope ! Gueule, t'aime ça, hein ? Plus tu gueules, plus ça nous excite et plus on te défonce ! »

Elle continue à m’empaler en me détruisant les tripes ! Je suis défoncé en longueur et en largeur ; elle m’éclate, me déchire même ! Je m’ennoie dans mes larmes, mes sanglots et geignements… mais heureusement je peux pleurer sans m’étouffer dans mes larmes car ma cagoule est large.

Peu à peu, derrière l’intolérable perception d’une envie de chier à crever, avec cependant l’impossibilité totale de le faire, ajoutés à une sensation d’empalement qui me broie l’intérieur et semble me désosser par morceaux, transparaît positivement le léger discernement d’une onde de plaisir qui remonte au long de ma colonne vertébrale. Ma bite croît elle aussi petitement.

J’halète, je bave… je sue et je n’ai plus froid ! Tout cela est douloureux, vicieux, mais je m’en accommode doucement, cette perversion commence à m’exciter. Je me dis que je suis un maso et que je suis prêt à tout, en attente de servir complaisamment le jeu de mes Maîtres.

Alors je susurre :

- « Merci Maîtresse ! », m’abîmant dans la plus complète déchéance !

Elle glousse de plaisir, immensément satisfaite d’elle-même ! Oui, elle arrive à ce qu’elle voulait : être une dominatrice implacable que la lope remercie pour sa parfaite ruine.

- « On va te former la lope. Tu deviendras un soumis total ! Pour les jeux les plus pervers ! »

À côté d’elle, les mecs se sont calmés, impressionnés sans doute par ma Maîtresse, son emprise, son sadisme… et par moi et ma capacité à aller si loin dans l’abaissement !

Les quelques-uns qui sont là se souviendront du spectacle : la soumission ignominieuse et la maltraitance contrainte souhaitées par une lope allant au bout de sa dégradation, telle celle d’un animal qu’on abat sans vergogne à l’abattoir ! Je ne suis plus qu’une bête d’amusement.

Mais le spectacle continue maintenant que je suis dans l’acceptation de ma disgrâce douloureuse et servile. J’arrive, certes difficilement, à contrôler ma respiration et mon supplice… y trouvant une certaine délectation de lavette maso !

Je frémis, je remercie mes Maitres, je leur témoigne une éternelle gratitude pour me permettre d’accéder à un tel niveau de soumission et d’abjection. Ma bite gonfle encore : vais-je bander dur de nouveau juste par l’esprit et jouir ainsi ?


- « Ouvre grand ta bouche, salope ! »

Je m’exécute et quelqu’un m’enjambe. Sans doute, le type qui a proposé le jeu. Il plie les jambes et son zob vient frotter ma bouche. Veut-il que je le suce avant de me pisser dedans ? Non, sa queue est là tout prêt de ma bouche pour qu’il puisse m’envoyer tout son jus doré dedans sans louper l’ouverture afin que je gobe tout !

D’ailleurs, il me le dit :

« Bois tout, salope ! »

Il m’envoie alors un petit jet en pleine bouche… que j’avale aussitôt. Il recommence ainsi par petits largages bien contrôlés et j’ingère le liquide chaud sans en perdre une goutte. Il est attentif, il me semble, pour que son jet ne parte pas à côté… et je me dis qu’il doit tenir sa queue à pleine main.

Parfois, il introduit sa bite à l’entrée de ma bouche et propulse un peu d’urine. Soudain, je le sens se redresser : a-t-il mal au dos, plus de pisse… ?

Il m’avertit :

- « Gargarise-toi avec, salope ! »

Il faut bien les amuser, n’est-ce pas ? Il redescend, introduit sa pine, assez grosse bien que non ferme, me largue une petite quantité, se redresse. Je tente de tout garder en bouche et commence le gargarisme, bruyant… ça amuse gentiment les types.

L’un d’eux énonce :

- « Quelle pauvre cloche, cette lope. Encore jamais vu ça ! Un moins que rien, cette poubelle ! »

Un autre ajoute :

-  « Y’a des mecs qui aiment vraiment l’humiliation ! T’as vu sa position devant tous ! Heureusement qu’il a une cagoule sinon… ! »

Oui, j’ai bien fait d’exiger dans porter une, contrairement à ce que voulait au départ le couple Dom. Certes j’assume… mais jusqu’à un certain point : à ce niveau de déchéance, j’aurais trop eu la honte qu’on me reconnût dans la rue !

Enfin, pour conclure le débat philosophique sur l’usage de la lope, deux autres lancent sentencieusement : « Quelle grosse merde ! » et « Sale truie ».

Merci pour les compliments ! Mais c’est bien dit et j’ajouterais : sous-merde, crevure, détritus... Voilà ce que je souhaite être pour les dominants actifs ! Sans doute suis-je devenu un mec qui est moins qu’un objet, qui se laisse faire des trucs ignobles et ne trouve plus son plaisir que dans la souffrance et l’abjection !


Je finis par avaler ! Sa pisse me semble meilleure que les précédentes : je devrais plutôt dire moins mauvaise !

Étonnant, son contrôle ! Pas facile de balancer ainsi de petits jets ! Autour aussi, je ressens que ça s’étonne d’une telle performance : la sienne et la mienne ! Il continue de la sorte lentement et… trop longuement à mon avis. Néanmoins j’engloutis. Première fois que j’ingurgite toute l’urine d’un mec !

Le type a plaisir à m’obliger à tout lamper. C’est sa forme de domination de la lope : ne pas en perdre une goutte, forme de soumission absolue !

Enfin, il en termine. Jamais autant bu de pisse, suis écœuré ! Déjà nauséeux à cause des multiples douleurs, notamment l’énorme truc dans mon ventre qui me troue presque en deux, j’ai la sensation que je vais dégueuler toute la pisse.

J'ai très mal au cœur mais ne vomis pas pour autant : une sensation générale lourde et étrange comme une sorte de malaise indéfinissable, comme si ma tête était volumineuse, pesante et chargée d’une merde liquide en agitation.

Soudainement, je ne suis qu’un puits de souffrance ! Que j’ai mal : partout, dans toutes les dimensions de mon corps, à l’intérieur et à l’extérieur. La souffrance me perfore, me transperce !

Je hurle :

- « Arrêtez ! Marre ! »

Comme s’il constatait une scène d’une banalité quotidienne, quelqu’un dit d’un ton modéré : « Ouais, il doit souffrir comme ça ».

En effet, je souffre et pas qu’un peu.

Surtout je voudrais qu’on me redresse, qu’on me retire cette énorme instrument qui me déchire et qui m’empale du trou du cul au cou, et dégueuler tout mon saoul afin, peut-être, que les lancinants lancements acérés dans tout mon corps stoppent miraculeusement !

Ouf, vite, qu’on en finisse ! Combien de jours va-t-il me falloir avant que toutes les douleurs musculaires, anales, intérieures… disparaissent ?

La Maîtresse est certes compatissante mais elle rappelle au type que je suis son soumis, son objet sexuel et que s’il n’est pas content, il peut se tirer, que c’est elle qui décide ! Elle ajoute qu’en effet, j’ai bien donné, que je suis fatigué et que l’on va cesser.

D’autant plus qu’un mec affirme : « Il en a marre ! Ça se voit ! », tandis que celui qui m’a pissé dans la bouche (je reconnais sa voix) lance : « Me tire, ça suffit ! Bon lopage d’ailleurs, j’en ai bien profité ».

La maîtresse me dira après que c’est lui qui m’a magnifiquement enculé sur le sling. Un type doué, je me dis, qui doit beaucoup plaire à ses divers partenaires hommes et femmes sans doute !

Je discerne un désir d’en finir avec ce lopage. Sans doute considèrent-ils qu’il y a eu une bonne séance, inhabituelle, longue et excitante… que maintenant la lope qui a bien joué son rôle, bien servie, peut se reposer !

Enfin elle dégonfle le gode ! Merci, merci, merci mille fois !

Quel intense bonheur soudain ! Ouah, que c’est bon ! Je n’imaginais pas qu’un soulagement fût aussi jouissif ! Mais la garce le retire d’un seul coup. Quel coup de poignard dans le cul. Je hurle !

- « T’as gueule », dit quelqu’un. Merci, sympa ! J’ai bien servi, faut pas que je la ramène trop en plus, c’est ça ?

On me laisse retomber doucement sur le bac en me retenant les pieds. Ouf ! Je reste là sans bouger… m’explorant et recensant toutes mes souffrances : mal à la tête, toujours envie de vomir lancinante, cul défoncé et détruit, muscles tétanisés, ventre laminé, gorge irritée… Qu’exiger de plus ? Suis tombé au plus bas…

Certains regardent-ils encore cet amas infâme et informe, incapable de se relever car lopé atrocement par dizaines de mecs ? Puis on tire sur ma laisse, je dois me lever…

Que c’est dur ! Pas un mot, on traîne le paquet de sous-merde. Il n’a eu que ce qu’il méritait et il l’a voulu en plus ! Une lope avilie, c’est ça : moins qu’une bête, un objet dont on use et abuse, qu’on peut casser et qu’on case après dans un coin jusqu’u moment où éventuellement ça resservira !


On tire encore une fois sur ma laisse et je m’ébroue puis suit le mouvement. On s’évacue et redescend l’escalier. Je comprends que le couple Dom me ramène aux vestiaires.

Non, ce sera d’abord les toilettes avec la douche. Une fois entré dedans avec eux, ils m’enlèvent le collier et je peux ôter ma cagoule. Ouf, quel bien fou ! Le mec me demande si je veux me laver. Évidemment qu’une douche va à la fois me nettoyer car j’ai des jus collés au corps, atténuer mes douleurs et en plus me rasséréner un peu !

Le couple Dom assiste à mon décrassage tout en devisant : on peut dire qu’il s’agit d’une sorte de court débriefing ! D’abord, la fille me fournit certaines informations sur mon lopage (celles que je vous ai données au fil de mon récit). Ensuite, ils m’annoncent que j’ai été parfait ! Ils ont vraiment beaucoup apprécié et recommenceront car c’était la première fois qu’ils se lançaient ainsi ! Puis ils me demandent mes impressions.

Certes je suis plein de douleurs mais, moi aussi, j’ai énormément affectionné ce moment fou ! Et je suis prêt à recommencer, la fille ajoutant aussitôt qu’ils iront peut-être encore plus loin ! J’en ris mais je me demande bien ce que l’on peut faire de plus… Bof, je verrai bien si ça arrive.

Je leur explique que, avec le poppers, en me gazant à fond comme ils l’ont fait, c’est certain que ça me rend encore plus chienne : je pourrai faire n’importe quoi tel que déambuler à 4 pattes sur aire routière, forêt ou sex-shop devant public, subir leurs attouchements, claques, pincements et insultes…

La fille rit et elle ajoute :

- « Mais c’est exactement ce que tu as fait sous nos ordres ! »

Bon alors j’irai encore plus loin dans la déchéance la prochaine fois.

J’ai adoré aussi l’exhib avec poses humiliantes : cette position vraiment dure et exigeante avec le gode monstrueux qui me trouait… moment intense de dégradation publique qui m’excite complètement !

C’est pourquoi j’ai regretté qu’il n’y ait pas de photos et vidéos. Mais ils m’expliquent qu’eux préfèrent ainsi : on se fabrique des souvenirs plus forts, l’oubli nous permet de recommencer en croyant découvrir, etc. Pourquoi pas ? Mais j’aurais aimé me voir dans ces positions abjectes !

De même, j’exprime encore que être attaché, menotté est pour moi une sensation étrange d'être impuissant sous les coups de bite, dans la gueule, dans le cul, à tirer sur les cordes ou les chaines mêlée à l’angoisse du début qui se double ensuite de volupté.

C’est absolument nécessaire dans une séance de domination sinon je suis insatisfait tout comme je le suis si je ne suis pas baisé à la chaîne : pour moi le summum de la jouissance et de l’excitation et, sous poppers, c’est encore plus intense ! Le « sling » pour tout ça est vraiment l’endroit idéal !

Seule ombre au tableau : le risque qu’un mec fasse abstraction du préservatif (omission ou défection de la capote). C’est pour ça qu’il est souhaitable d'être pris en charge par un dominateur jouissant de voir sa lope jetée en pâture à une bande de queutards mais veillant également au bon déroulement des opérations.

Enfin, l’uro a été un moment génial, oh combien douloureux quand le type a imposé de nouveau cette position atroce… mais je voudrais déjà recommencer !


Enfin, je remercie Mes Maitres pour m’avoir appris, en toute sécurité !, à servir d'objet sexuel pour plusieurs personnes, à avoir le goût de les servir un à la fois et pour le dessert tous en même temps, à recevoir du sperme partout sur le corps, une super golden shower et à tripper pendant des heures.

Merci de m’avoir exhibé et d’avoir fait de moi une larve sexuelle sans aucun répit : devant, derrière, dessus, dessous, à l’endroit, à l’envers, uro, bukkake… ; j’ai pu vider moult queues, on m’a maté, tripoté sans vergogne, on m’a attaché et avili pleinement. Quelle magnifique jubilation : je n’ai plus été qu’un tire-jus sans aucun choix sur les gars ; seul le nombre et la perversité ont été importantes.

Je vois une intense satisfaction se marquer sur le visage du couple ! Ils ont aussi pris un grand pied à dominer une aussi bonne salope incroyable !

Peut-être nous reverrons-nous ? Sur ce constat, on se quitte et je me rhabille rapidement, ne voulant pas être reconnu par quelqu’un. Mais à ce moment-là il me semble qu’il n’y a plus grand-monde. En tout cas, je sors vite et le plus discrètement possible… espérant rapidement renouveler ce jubilatoire et orgasmique moment !

Par jovialbisesmotherfucker - Publié dans : exhib hard
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