Mercredi 9 mars 3 09 /03 /Mars 15:50

Les aventures avec mon 1er Maitre (8) : être un bon vide-couilles !

 

 

 

 

Ce que je décris ici doit remonter à ma 3ème ou 4ème visite chez Mon Maitre.

Il m'a peu à peu appris une sorte de protocole pour mon arrivée dont j'ai déjà parlé. C'est là aussi qu'il a commencé à devenir bien plus autoritaire et dominant... c'est là aussi que j'ai découvert que j'en acceptais beaucoup plus que les limites initialement prévues avec lui ! je me suis rendu compte que j'étais un soumis et même une bonne chienne...

Encore une fois je me rends chez lui et je vais être à sa disposition totalement humilié et soumis. Quand nous avons peu de temps, je m’y rends pour un court moment, lui servant alors juste de vide-couilles. Il m’a expliqué que mon statut de larve sexuelle à son service m’oblige à venir le servir à tout moment, même pour une courte demi-heure, pendant laquelle je n’ai d’autre utilité que de lui vider rapidement les couilles.


Je sonne, la porte s’ouvre et j’entre. J’entends du haut de l’escalier :

- « A poil salope" !

C’est son bonjour habituel, mais j’adore. Je me mets rapidement totalement nu, à quatre pattes, le cul en l'air et bien cambré, prêt à l’emploi… même si je sais que d’autres ordres habituels vont arriver. Il crie, impérieux :

- « Mets ton collier."

Je sais qu’il a posé avant mon arrivée plusieurs objets sur la chaise au bas de l’escalier ; il y a toujours le collier et c’est ce que je dois porter en premier ! Quand c’est fait, il ajoute :

- « Aujourd’hui, on va faire un peu différemment.

- Regarde sur la chaise, tu as des ficelles de bondage. Prends-en une longue."

Je m’exécute comme toujours sans piper mot car après je piperai sans doute longuement.

Il m’explique :

- « Attache-toi bien les couilles et serre fort, putasse… Bon, tu prends les deux bouts et tu les fixes derrière ton cou en te remontant bien les couilles et en tirant bien dessus. Fissa, chienne sinon le martinet te massacrera les fesses et le dos !"

Je fais plusieurs tours sur mes couilles, j’ai mal, puis je fixe les cordes à mon cou tirant bien dessus et les tendant au maximum. Le maitre exige que je me  remette à 4 pattes, que je me cambre, que je saisisse un tube de gel sur la chaise et que je m’en lubrifie le trou du cul, prêt à l'emploi. Maintenant le bandeau. J’attends ainsi, les yeux bandés, à 4 pattes, à poil, couilles douloureuses…

- « Monte chienne."

Je grimpe à 4 pattes l’escalier. Arrivé en haut, Maitre me saisit brutalement par le collier, me redresse vigoureusement et me claque avec vigueur les fesses plusieurs fois. Il me dit, exaspéré :

- « Plus vite que ça la prochaine fois sinon ça ira vraiment mal, salope."

Puis, il me prend par les cheveux et m’oblige à me mettre à genoux. J’ai déjà compris depuis les premières fois que je suis venu que je dois obéir à ses gestes comme une bonne chienne docile. Ma bouche s'ouvre et aspire lentement son gland. Je m'applique à lui procurer du plaisir. Après son gland, j'absorbe son manche tout en lui caressant les couilles et ses gémissements me récompensent de mes efforts.

J'augmente le nombre de va et vient sur sa bite, jouant avec ma langue et mes lèvres, lui, maintenant ma tête sur sa queue et laissant s'échapper des petits râles de plaisir. Après quelques minutes de ce traitement, il s’enfonce complètement dans ma bouche avec sa bite gonflée et prête à exploser et dit à haute voix :

- « Salope ! Ta bouche est une superbe bonne chatte et je te baise ta gueule de putasse... Tu vois p'tit bâtard… t’es là pour faire la pute et t'as intérêt à avoir un bon rendement."

Soudainement, il me rejette en arrière, me claque la gueule plusieurs fois. Suis un peu sonné, perdu, je titube ; il me rattrape, me saisit, me retourne et m’appuie contre la rambarde de l’escalier.

Je suis appuyé par les épaules contre celle-ci et maitre m’y fixe en passant une corde, plus une autre, courte, attachée à mon collier et enroulée autour de la rambarde. Il me saisit alors les jambes et les éloigne tandis que dans le même mouvement il me les écarte fortement. Puis je sens qu’il m’attache la cheville droite avec une corde, qu’il tend et fixe quelque part plus loin. Il fait la même chose à l’autre cheville et ainsi m’écartèle sans que je puisse rapprocher mes jambes !

Enfin, le maitre m’installe quelque chose de dur contre le ventre et je sens qu’il le met en appui contre le bas de la rambarde. Je ne peux plus bouger : fixé par les épaules, le dos cassé, jambes bien écartées, ne pouvant rapprocher mon corps de la balustrade puisque retenu par quelque chose de résistant (un balai peut-être ?).

Voici ma situation : celle d’une lope soumise, utilisable comme vrai objet sexuel.

Mon Maitre me claque encore les fesses et hurle :

- « Que dit-on ?

- Merci Maitre.

- Tu es une bonne chienne, je vais continuer ton éducation pour que tu sois le meilleur vide-couilles que j’ai eu !

- Oh oui Maitre.

- Alors promets-moi d’obéir à tous mes ordres et de vouloir continuer à devenir une vraie salope !"

Je promets.

Et le Maitre s’engouffre subitement dans mon cul ! Je hurle de douleur car il m’embroche littéralement, au fond de mes entrailles… mais c'est trop bon de se sentir rempli. Il ralentit ses va et vient, sa douceur contraste alors avec sa brutalité du début. Toutefois lorsqu'il se retire sans sortir de mon trou, il prend de la force pour venir m'embrocher au plus profond.

- « Que c’est bon Maitre, c'est trop bon…"

Et il repart de plus belle en accélérant la cadence. Mon cul est à sa merci. Oui j’aime. J'aime cette sensation de flux et de reflux au plus profond de moi. Être à la merci d'une bonne queue qui me laboure les parois anales.

Maitre s'active et soupire tant il prend du plaisir à me limer ainsi. C'est un super baiseur. Je lui ai dit, c'est le premier qui me lime aussi longtemps et avec lequel je kiffe autant. J'adore être bourré comme cela et lui aussi manifestement adore m’enculer au plus profond. C'est reparti et il se fait encore plus bestial. Des coups de reins violents le font buter sur mes fesses. Je sens ses burnes qui cognent et j'aime ça, je suis à la merci de lui qui exulte de plaisir, pour le mien aussi.

- « Tiens prends ça", dit-il en s'enfonçant au plus profond de moi. « Et ça encore !"

En revenant à la charge, il me comble, je couine, j'aime me sentir lope, à la merci d'un beau mec viril comme lui, mon souffle est court et saccadé. Maitre aussi a le souffle court et je le sens bouillant comme la braise. Il accélère la cadence, ses jambes tremblent, son corps exulte autant que le mien. Il ralentit car il doit sentir monter sa sève. Le revoilà plus doux et docile et je n'en peux plus de me faire limer ainsi.

Soudain il se retire, m’enlève vite fait les cordes, veux me faire mettre à genoux… mais je suis engourdi, les membres douloureux, coincés… surtout les bras, eux toujours attachés derrière mon dos à mon cou. Par contre, je ne sens plus du tout mes couilles : qu’en sera-t-il quand j’enlèverai les cordes ? Il insiste, appuie sur mes épaules ; péniblement, j’arrive à me placer dans la position qu’il souhaite.

Aussitôt, il s’engouffre dans ma bouche. Son excitation est à son comble, je le suce amoureusement, doucement, j'engloutis toute sa queue en gorge profonde, m’étouffe, prêt à dégueuler, puis reprend une pipe tendre.

Brusquement, il me saisit la tête fermement et m’enfonce sa bite brutalement en fond de gorge. J’étouffe et je vais dégueuler… Il me dit :

- « Oui, c'est une bonne preuve de soumission d'offrir sa bouche ainsi. »

Sa teub bien enfoncée, ma tête bien bloquée, je ne peux rien faire, je deviens un trou dans lequel le Maitre se videra. Là, suis plus une salope vide-couilles experte en suce, simplement un trou.

Je l'entends gémir de plus en plus fort, il baise ma bouche avec sa bite et crie presque. Je continue en le pipant fortement puis il me dit :

- « Si tu veux boire mon sperme, c'est maintenant."

Il reprend ma tête, s’arrête, hésite… me laisse, s’éloigne, revient avec une sangle et une corde. J’ai toujours les bras fixés dans mon dos à mon cou – mal aux épaules – et là il me fait m’accroupir et me plaque le dos contre la rambarde. Puis il tourne la corde autour de mon ventre et des barres verticales de la rambarde. Puis me chope la tête, me la plaque aussi et fixe la sangle à mon front et à la rambarde. Je suis totalement bloqué, mal partout…

Mais je suis heureux quand même. C’est la première fois que j’ai la tête ainsi bloquée. Le Maitre est sûr que je ne peux pas me retirer quand il me lâchera son jus en fond de gorge… D’ailleurs le Maitre dit :

- « J'ai déjà pratiqué comme ça, c'est super ! Un Maitre ne doit pas hésiter à bloquer la tête de son vide-couilles pour être sûr qu’il ne se retire pas ! Si ça t’arrivait de te retirer quand j’éjacule, tu aurais trop la honte et tu serais puni tellement sévèrement. C’est pour ton bien que je fais ça ! »

Le maitre a raison : un bon objet sexuel comme moi doit apprendre. Il me gicle au fond de la gorge en me tenant bien la tête sans bouger au moment de l'éjaculation.

J'entends ses gémissements monter et rapidement son sperme jaillit dans ma bouche, en grandes rasades. Le jus coule. Il avait les couilles bien pleines et il les vide dans ma gorge. Je sens la crème de mon maitre qui descend car les jets sont puissants.

Très vite, j'ai eu la sensation de boire la tasse car il laisse se vider sa pine au fond de ma gorge, il m’étouffe. Avec l'excitation et surtout le poppers, ça allait mais là d’un coup, je suis larmoyant, suffoquant, asphyxié, presque comme si j’étais garrotté.  Heureusement, le Maitre retire légèrement sa pine encore gonflée ; je n’étais vraiment pas à mon avantage et les larmes et la bave coulent sur mon visage et mon torse.

Je reprends ma succion et sens les dernières gouttes sortir de son gland sur ma langue. J’ai tout avalé, jusqu’à la dernière goutte. Je suis une vraie salope maintenant. Je lui nettoie la queue. Il souffle comme un bœuf. Maitre me regarde et dit :

- "T’es une bonne salope ! ».

Et c'est ça le plus important pour moi et pour lui. J'ai l'odeur et le goût de son sperme qui vont rester un long moment après et ça j'ai énormément aimé.

Maitre me repousse et dit :

- « Dégage, putasse !"

Il me détache vite fait : le torse puis le front, les bras que j’ai du mal à faire bouger, pourtant je dois descendre à 4 pattes l’escalier ; c’est pénible.

En bas, j’enlève aussi la corde qui enserre mes couilles, enfin ! Et la douleur me saisit en même temps que le sang les irrigue de nouveau. Je retire mon bandeau puis mon collier, m’habille rapidement et me tire, ayant mal partout, mais tout heureux d’avoir été le bon vide-couilles qu’il faut pour mon Maitre !

Par jovialbisesmotherfucker - Publié dans : exhib hard
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