Dimanche 28 février 7 28 /02 /Fév 20:01

Les aventures avec mon Premier Maitre (2)

 

 

je me fais goder

Mon Maitre m’explique que posséder une lope soumise bon vide-couilles est extrêmement jouissif ! C'est l'ivresse du pouvoir, c'est asservir un mec à son extrême. Il va maintenant m’initier au dogtraining ; la base c'est la nudité, le collier et la laisse (à la rigueur un harnais de tête en cuir pour mieux manœuvrer). La nudité de mes chiens doit être totale, me dit-il. La place de mon chien est au sol, à mes pieds. Je ne conçois pas qu'il puisse un seul instant se trouver debout sur ses deux jambes ! Impossible. Mes chiens rampent à quatre pattes. Ils bouffent à même le sol, dans une gamelle. Dans mes excès de bonté et selon les résistances de chacun, mes chiens bouffent ce que je veux bien leur donner. Pour les chanceux, c'est de la nourriture tout à fait convenable, pour d'autres, des restes. Enfin j'impose parfois de la nourriture pour chien. Et puis les derniers mangent de la merde véritablement ! Mais pas toi, tu n’en es pas encore là de toute façon. Heureusement car pour l’instant je refuse le scato… Le Maitre continue à me commenter ce qu’il ressent. La première satisfaction quand on dresse un chien, c'est la jouissance, m’explique-t-il. Que cet être humain je le contrôle, le rabaisse et l’avilisse au plus haut point, m’excite et ça me fait bander dur. Tu es mon clebs, salope ! Tout m'est permis ! J'adore donner des coups de pied sur tes flancs, ton dos, tes fesses, je te cravache aussi. Je n'attends même pas une moindre erreur, je fais siffler la cravache à chaque ordre. Je veux que Mon chien abdique toute humanité. Il est simplement autorisé pour me remercier à me lécher les jambes, les fesses, la queue ! Sur le plan sexuel, mon chien me sert de vide-couilles, j’utilise ses trous quand bon me semble, où et avec qui bon me semble. Tu es une merde que j'aime baffer et ça me fait jouir ! Je te branle parfois, mais toujours à 4 pattes ou sur le dos les pattes levées, c’est une récompense quand tu as bien respecté et assuré ton rôle de chien. Toutefois, j'affectionne une pratique en particulier : le chien doit se branler en frottant sa queue à même le sol, à plat ventre pendant que je le cravache. Pour le stimuler, je lui mets souvent dans sa gueule un de mes strings portés ou un gode que je lui ai fourré avant dans le cul. Ensuite bien sûr, il lèche son sperme et fait briller mon parquet ! J'adore voir le chien s'exciter en se frottant sur le sol tandis que je le regarde d'un air méprisant et dédaigneux se branler en posant mon pied sur son crâne et en le cravachant. Il n'est plus rien à ce moment-là ! Par contre, je ne dresse pas les idiots et demeurés ! Tout le kiff consiste justement à faire d'un mec censé et intelligent une véritable lope déshumanisée, dont le sort est entre mes mains. J'aime tenir en laisse un chien intelligent, sensible, qui ressent profondément son humiliation, et pas un simple d'esprit qui n'a qu'une envie, c'est de se vider. Mon chien ne doit avoir que deux objectifs : 1- Son Maître, rien que son Maître ; 2- Subir et servir comme un esclave qu’il est aussi, supporter toutes les brimades et humiliations les plus sadiques. Devenir un chien, c'est d'abord dans la tête, c'est savoir et continuer à apprendre à la fermer dans une satisfaction intense et profonde d'avoir fait jouir son Maître, de l'avoir subi pour le plaisir du Maitre, se laisser transcender dans la contrainte, dans la soumission. En tant que Chien, larve soumise, il est pour moi évident et naturel que ma nudité doit être totale, que je dois vivre en permanence à 4 pattes, systématiquement manger dans une gamelle. Par contre il y a tout de même un écart entre désirer se comporter comme un chien et être un chien battu. Je trouve nécessaire que le maître me montre sa poigne mais si je suis battu pour un rien à tout bout de champ : je refuse. Il est possible d'être soumis sans pour autant être maso. En tant que dog, ce que je trouve particulièrement fort, c'est le sentiment d'adoration du chien envers le maître. Il devient un dieu. Par contre, en ce qui me concerne, si le Maître répond à l'amour que je lui donne par des coups de ceinturon, et ne me donne pas les caresses dont j'ai besoin, je préfère arrêter. C'est comme dans la vie réelle : certains maîtres maltraitent leurs animaux alors que d'autres sont aux petits soins pour eux. C'est une question de choix. Et en ce qui me concerne j'adore être un chien mais je refuse d'être un chien battu. Enfin... pour schématiser et simplifier. En tant que dog, j'aimerais par exemple me balader à poil et à 4 pattes dans l'appartement du maître, aller et venir librement, aller boire à ma gamelle si j'en ai envie, pisser dans ma caisse, jouer avec un jouet, renifler les odeurs ici et là, me coucher sur mon tapis... En tant que Dog, objet sexuel et vide-couilles de mon Maitre, une des pratiques qui me procure un plaisir intense c’est de jouer avec mon Maitre. Un des jeux que mon Maitre préfère est le suivant. Moi dog soumis entièrement nu, pluggé par un gros gode, assis dans le bac froid de la douche : - « As-tu froid ? » Je ne me rappelle même plus de ma réponse mais juste de la sienne : « Je m'en fous, tu resteras assis ici ». Je suis assis, les mains menottées au mitigeur en hauteur, de sorte que je ne puisse couvrir à aucun moment ni mon visage ni une partie de mon corps. Je suis vulnérable et totalement à lui et à sa merci. Ma tête baissée, quand est-ce que LM (le Maitre) va commencer à m'arroser ? Je ne sais pas ce que je vais subir. Surement LM sait-il que je suis adepte d'humiliation urinaire : surtout la douche est le lieu approprié pour subvenir à cette envie. La confirmation vient quand il lâche : « Je me suis retenu depuis quelques heures... » LM m’arrose par de petits jaillissements de pisse. Des jets brefs et puissants viennent percuter ma peau avec un bruit amplifié par l'acoustique de la salle de bain : mon pied droit d’abord, puis le gauche, ensuite les jambes et il m’envoie une belle giclée sur le torse. Il observe mes réactions car je devine que ce sont elles qui conditionnent son plaisir. Il aime entendre ma respiration plus forte et observer un léger mouvement vers l'arrière de mon corps dont l'amplitude est limitée par l'enchaînement de mes mains. Ensuite il continue, épaules, torse, poils pubiens, ma queue... Chaque partie de mon corps y goûte. Son but est de ne plus observer une zone sèche sur moi et me recouvrir entièrement de son urine. Il n’a pas encore attaqué mon visage : veut-il me laisser croire qu’il n'y touchera pas ? Je sais qu’il ne pourra s’en empêcher ! Soudain, il m’envoie par surprise un bon jet sur mon visage, premier d'une longue série. Mes mains attachées, je n’ai d'autre choix que de les subir sans broncher ; enfin, quelques jets sur mes cheveux… puis sur l'intégralité de mon corps. Entre chaque jet, il aime me parler : « Regarde ce que je te fais » ; « Tu es un simple urinoir » ; « Tu sers vraiment à rien » ; « Je fais ce que je veux », etc. Moi, je ne réponds pas, j’encaisse juste les jets d'urine sur mon corps. Après de nombreux petits jets, il me demande de relever la tête et de le regarder. Quel plaisir, je le ressens bien, il a à me voir là, humide, humilié, ruisselant de son urine. Ma respiration est saccadée et il observe les gouttes qui tombent de mon visage. Il regarde mes yeux… plein de pisse, que je n’ai pas eu le temps de fermer quand il m'arrosait. Tant pis pour moi, il pense ! Il me laisse là, quelques longues minutes, entièrement mouillé ; je m'imprègne de cette odeur de pisse et sans doute pour LM l'idée de faire durer l'humiliation est exquise ! Il s’éloigne mais je l’entends boire encore… de sorte à pouvoir m'arroser une deuxième fois. Après de longues minutes d'attente, il revient me voir, me demandant quelle partie de mon corps est encore sèche. Je ne me rappelle plus de ma réponse. Y en a-t-il encore une ? Il reprend ses jets : il y en a moins la seconde fois mais assez pour recommencer à remouiller chaque partie de mon corps. « Les menottes me font mal », dis-je ; « Ce n'est pas grave ! », répond-il en m’envoyant un jet dans le visage. Il termine par uriner normalement sur moi en partant de mes cheveux et descendant jusqu'à mes pieds. Pour m’achever, il me fait lécher la dernière goutte directement sur son gland. C’est un moment exquis. Quel plaisir de me faire uriner dessus par LM et de lui offrir mon humiliation. Quel plaisir il a – il me le signale après - de voir que je reste là sans dire un mot avec le plug dans mon cul, couvert de son urine chaude. Enfin, je le remercie pour ce qu’il me fait subir.

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Jeudi 18 février 4 18 /02 /Fév 12:08

Les aventures avec mon 1er Maitre (6) : mon premier lopage avec plusieurs mecs

 

 

J'ai envie de vous raconter mon premier lopage car ce fut hot et ça m'a bien secoué les tripes de toutes les façons. Une longue peur incessante mêlée d'un effroi gigantesque mais aussi d'une excitation incroyable surdimensionnée et qui m'a fait jouir abondamment du cul et de la bite !

Mon 1er Maitre, Tony, après 4 ou 5 mois, avait bien senti mon besoin d'exhibition et d'être offert comme une bonne lope.

 

 

 

Au bout de quelques mois, il décida de me faire connaître cette joie. Il me dira, plus tard, qu’il a adoré cette soirée où pour la première fois il m’a lopé et où il a découvert qu’il était plus bestial qu’il ne l’imaginait !

Pour moi, ce fut une torture incessante et j’en garde un souvenir atroce… mais je n’ai pu m’empêcher de vouloir recommencer car je suis vraiment devenu une chienne soumise, sous-homme au service des vrais.

 

Ce soir-là, il me mit une cagoule aveugle et, mains entravées dans le dos, m'a emmené en voiture. Au bout d'un certain temps, la voiture s'arrêta et je fus emmené à l'intérieur d'un immeuble, je crois, en parcourant un couloir assez long (au sous-sol dans une cave ?).

Mon pantalon fut baissé et mes couilles mises à l'air, puis je fus emmené dans une pièce où j'entendis plusieurs voix. J'eus la surprise d'entendre mon maître mettre aux enchères le droit de me torturer. Je dus me foutre complètement à poil et on me mit un collier de soumis (LM sans doute ?).

Le gagnant choisit d'écraser mes couilles avec des pinces plates. Je hurlai comme un malade et crut m’évanouir mais il finit par me relâcher. Jamais je n’avais eu si mal : je soufflai, grognai et pleurai… Ils me laissèrent plusieurs minutes pour récupérer.

Puis un autre choisit de me sodomiser ; je préférai nettement ça même s’il m’encula à sec et que je hurlai une fois de plus lors de la violente pénétration.

Le troisième décida de jouir dans ma bouche, là encore évidemment sans aucune tendresse, me tenant la tête avec ses deux mains, il balançait de grands coups de queue au fond de ma gorge. J’avais mal, les mâchoires distendues et la bouche en feu, bavant et crachant, étouffant et étant constamment au bord du dégueulement. Enfin, le dernier, avec un sourire sadique, reprit les grosses pinces plates et entreprit de tirer mes tétons à la limite du supportable. De nouveau, je gueulai comme un supplicié, fou de douleur… Exténué, brisé, je leur demandai grâce comme la grosse merde que je suis ! Ils m'enlevèrent la cagoule, que je puisse voir leurs visages satisfaits ; je me rendais compte que mes tortures leur donnaient énormément de plaisir, mes malheurs leur arrachant des sourires diaboliques.

Je pus boire ; un peu remis, bien que les élancements et tiraillements fussent atroces, j’ai pensé quelques instants que j’en avais fini avec les tourments de ces salauds. Ils comprirent mes pensées et se mirent à rire, l’un d’eux me criant dans l’oreille que ce n’était pas terminé et que je devais prendre aussi mon plaisir. J’eus peur et me mis à trembler. Voyant ça, ils se mirent à me claquer sur tout le corps pour, me dirent-ils, me réchauffer.

Je n’ai pas de mots pour décrire la souffrance qui se répandait partout dans mon corps et dans mon crâne ! J’avais la nausée, envie de vomir, mes jambes se dérobèrent, je m’écroulais sur le sol, ils continuèrent de me frapper mais à coups de pied, sur les côtes, les jambes, le cul… je me roulai en boule et mis ma tête entre les mains, me protégeant un peu contre leurs coups, heureusement pas complètement appuyés.

Je demandai de nouveau grâce à mes maitres… mais ils ne cessèrent que progressivement de me martyriser. Détruit, cassé, épuisé, anéanti, prostré, assommé, sale, je dus les remercier pour cette soirée, pour la bienveillance qu’ils ont eu pour moi et leur assurer que je souhaitais qu’elle continuât longuement afin de profiter de leurs bienfaits au maximum. Ils me firent mettre à 4 pattes, exigeant que je cambre bien mon cul, ce que j’étais incapable de faire car des douleurs effroyables m’en empêchaient… Je vomissais, un goût ignoble dans la bouche ; ils rirent me traitant de lopette inapte à supporter l’amour que me donnent les Maitres…

Ils m’obligèrent à les implorer d’être assez bons pour continuer à s’occuper de moi : donc j’ânonnai péniblement ma sollicitation, n’ayant plus du tout la force de parler normalement, leur expliquant, comme ils l’exigeaient, pourquoi j’aimais être traité comme une merde souffre-douleur. Ce fut long… ils rigolèrent beaucoup, me voyant totalement avili, humilié, rabaissé, déchu au rang de sous-homme, de larve, de lavette absolue…

Ils m’expliquèrent, me permettant de m’écrouler à terre de nouveau dans mon vomi, que j’avais bien fait mon travail de vide-couilles, de soumis, que j’étais une bonne chienne et un esclave méritant… que je n’avais plus grand-chose à faire si ce n’était de nettoyer le sol… puis qu’ils me donneraient du plaisir.

L’un d’eux se pencha, me saisit brutalement les cheveux et tira ma tête jusqu’au vomi, je hurlai… mais je dus lécher le sol et avaler mon dégueulis… que je redégueulai aussitôt… aussi pris-je d’autres claques et baffes. J’étais plus assommé et brisé que si j’avais fait quinze rounds contre Mike Tyson, groggy, éreinté et accablé comme un prisonnier américain au Vietnam après 3 jours consécutifs de torture.

Je n’avais plus la force d’obéir, je pleurai abondamment. Je compris qu’ils pestaient, déçus de mon abattement et de ma prostration. L’un deux dit qu’on allait me ranimer ; joignant le geste à la parole, il sortit sa bite et commença à me pisser dessus… ce qui, une fois de plus, fit beaucoup rire les autres. Mais très vite, eux aussi me vidèrent leur jus chaud sur le corps, la tête… je m’abritai le visage comme je pouvais, tournant la tête vers le sol dans mon vomi. Le Maitre me beugla de tourner la tête vers eux et d’ouvrir la bouche pour avaler le plus de pisse possible dans ma gueule de sous-merde. J’obéis encore, dirigeant lentement le visage vers leurs queues et ouvrant grand la bouche, prêt à subir une nouvelle fois car tel est mon destin de carpette au service des vrais hommes, mes Maitres.

Ils avaient beaucoup bu au cours de la soirée et de façon très alcoolisée. Leur pisse était certes chaude, et ça me faisait du bien, moi qui avait si froid, même si ça piquait mes blessures, mais leur pisse avait un goût épouvantable ! Toutefois, je tentai d’en boire beaucoup, voulant éviter de nouveaux coups douloureux… mais c’était difficile, elle arrivait par gros jets presque continus, je m’étranglai, la rejetait, tentais de respirer quand même, puis d’en ingurgiter encore…

Eux, ils rigolaient et gloussaient encore et toujours, contents de leur pouvoir de maitres asservissant leur esclave. Puis la pisse se tarit… je profitai de quelques minutes de répit… me repliai comme un fœtus… j’attendis, saisi par une odeur atroce qui sourdait de sous moi.

Encore par les cheveux, mon maitre m’empoigna pour me redresser. Il s’arrêta aussitôt, atteint lui aussi par l’exhalaison immonde, constatant avec dégoût que j’avais chié liquide, la merde s’écoulant sur mes cuisses. Dur, dur… j’étais incapable de tenir debout… je retombai à terre… Je les vis reculer alors que je m’aplatissais tel un porc dans ma fange. Il n’était plus question qu’ils tentent de m’agripper alors que j’étais trempé de pisse et de merde, sale et plus repoussant qu’un lépreux.

Je fermai les yeux, prêt à tenter de dormir et de me reposer malgré l’odeur intenable et mes douleurs cruelles ! Pendant que j’essayais de me reposer, je cogitais. Qu’étais-je devenu ? Une vraie larve maso accro aux punitions sadiques et au dressage hard. Jamais je n’avais autant souffert. Et malgré ça, j’avais un certain plaisir à être devenu une bonne carpette obéissante ! Je me demandais aussi à quoi ils songeaient maintenant. A me laisser tranquille enfin… j’en doutais car n’avaient-ils pas dit que je devais avoir mon plaisir… qu’est-ce que ça signifiait ?

Subitement, je reçus un gros coup de pied dans les fesses. Je grognai de douleur et me remis à pleurnicher car je devinais qu’ils avaient encore envie de se défouler sur la larve que je suis. Le Maitre m’annonça qu’ils allaient me nettoyer afin que je puisse avoir mon plaisir tant mérité. Je tremblais de froid et d’effroi. Qu’est-ce que ça signifiait comme nouveaux tourments ?

LM était dressé devant moi, jambes écartées, ses mains sur les hanches, il me dominait de toute ma hauteur alors que je tentais péniblement et douloureusement de me remettre sur mes genoux (où étaient les autres ?). Je vis à son regard qu’il se régalait des tortures que je venais de subir, de mes yeux humides et de mon air de chien battu, et je sus qu’une autre petite pulsion sadique l’envahissait.

Il saisit une poignée de mes cheveux, tira ma tête en arrière et me balança sa main en pleine gueule en disant :

- « Hum… c’est trop bon ! » Il râlait de plaisir alors qu’il me frappait. Sa queue me touchait le visage tellement elle était encore grosse et dure.

- « T’en as assez sale merde ? » J’étais plus qu’étourdi et je n’esquissais aucune réponse, tanguant et tremblant, prêt à m’écrouler de nouveau.

- « Oh non, il t’en faut encore putain d’esclave ! Prends ça ! Et ça ! T’es mon chien ! Tu m’obéis ! Tu m’appartiens ! » Chaque phrase était ponctuée d’une baffe.

- « T’es fini maintenant, ta vie dépend de moi ! Tiens ! Je vais te détruire sale clebs ! » Il a enfin arrêté. Les larmes coulaient le long de mes joues. Il éclata de rire.

- « Tu sais comment te faire pardonner maintenant ? Tiens renifle l’odeur de ma queue ! Sens comme elle sent fort depuis que tu m’as sucé. » J’entrevoyais que c’était ma dernière carte pour qu’il arrête les baffes. Je me mis à renifler comme un bon toutou son gland turgescent.

- « Ça sent bon esclave, n’est-ce pas ?

- Oui… Maître », dis-je très lentement car j’avais vraiment beaucoup de mal à parler.

- « Bon alors maintenant, tu vas me faire jouir avec ta bouche encore une fois. Elle est faite pour ça ! » Il fit pénétrer sa queue puissante dans ma frêle petite bouche d’esclave. Que c’était pénible !

Il dit : - « Trop bon ! » Certes pour lui mais pour moi sa grosse bite était bien à l’étroit à l’intérieur de ma bouche et j’étouffai. J’en eus un haut le cœur !

- « Désolé mon chien, c’est dur de t’imposer cela encore une fois dans ton état. Mais j’en ai trop besoin et je sais que tu aimes trop me faire plaisir, putasse ! » Il n’en pensait pas un mot mais c’était cette petite satisfaction sadique de me torturer psychologiquement.

- « Mais tu dois le faire car tu dois m’obéir. Il est dommage que tu pues autant, connasse ! Tu sais pas te retenir quand il y a du monde, pauvre fiotte ! » Il pénétra ma bouche avec de plus en plus de violence, en me pinçant de temps en temps le nez pour que j’ouvre plus grand et que je bave.

- « Tu es né pour ça, obéir à des supérieurs tels que moi ! T’as eu de la chance de croiser mon chemin. » Il disait ça le plus sérieusement du monde tandis qu’il était en train de me défoncer le fond de la gorge.

D’un coup, il se retira en me foutant une bonne claque pour me réveiller. Ma tête résonna comme un gong long et strident ! Je sentis que je saignai du nez et j’eus peur des conséquences ! Je ne pus m’empêcher de pleurer de nouveau.

- « Suce mieux que ça bâtard ! Ou je reprends les coups et le cravachage… et cesse de jouer les pleureuses comme une femmelette ! Tiens-toi un peu ! Un esclave doit apprécier son sort et l’intérêt que lui manifeste son Maitre ! »

Il s’activa de plus belle et me pistonna de plus en plus fort, ma tête maintenue entre ses deux mains. Il effectuait de grands mouvements de va et vient… et il faisait durer le plaisir pour me faire souffrir. Et d’un seul coup :

- « Avale tout mon chien ! Bois mon jus si vitaminé de vrai homme, ma sous-merde ! T’en as bien besoin car en plus c’est tout ce que t’as à manger ce soir ! » Il poussa un râle de plaisir, un grognement de mâle, sortit sa queue luisante, pleine de ma bave.

J’étais ankylosé de partout, la mâchoire paralysée par la violence de sa pénétration. D’habitude, après l’éjaculation, j’aurais dû récurer son gland et sa queue, entièrement. Il dut se rendre compte de mon état et préféra alors essuyer sa queue sur mes joues, mon front, mes yeux, puis me repoussa. Je m’effondrai au sol.

Pas de pot, à peine avais-je fermé les yeux, mon corps plaqué dans la salissure, que j’entendis les voix des autres (d’où revenaient-ils ?). Je reçus encore, heureusement pas trop fort, un coup de pied dans le dos, et j’entendis :

- « Tourne-toi, salope ! Lave-toi ! Tu pues trop ! »

Au même instant, ils me déversèrent dessus l’eau de bouteilles d’eau minérale. Je m’ébrouai, me trainai hors de la zone dégueulasse, me secouai et me frottai partout sur le corps avec les mains pendant qu’ils m’aspergeaient, toujours rigolant de mon infériorité.

Bien que glacé, ça me faisait du bien, j’avais l’impression de me débarrasser à la fois de ma saleté physique mais aussi morale…

- « C’est quand même mieux ainsi pour continuer à t’utiliser, crevure ! Il est temps que tu prennes un peu de plaisir, non ? »

J’acquiesçai péniblement tandis qu’ils se marraient encore. J’étais nu à même le sol, vidé et crevé comme je n’imaginais pas qu’on pût l’être car même après un semi-marathon je l’étais beaucoup moins, un peu moins sale présentement certes mais gelé car complètement humide… attendant qu’ils me disent comment j’allais avoir du plaisir.

- « Pour terminer cette soirée, tu vas être branlé ! », m’annonça mon Maitre… et je fus branlé sans interruption durant plusieurs heures.

Ils se relayaient… combien de fois je ne sais pas mais au moins 4 ou 5 fois, que j’avais mal ! J’étais trait de force comme une vache. Mais elle c’est seulement 1 fois le matin et une fois le soir. Moi, c’était à la suite : dès que j’avais joui, la main de l’un d’eux me reprenait, me serrant fortement, douloureusement, provoquant une bandaison pénible et insupportable, tout en me faisant renifler du poppers…

J’avais la pine toute corrodée, en charpie, le gland irrité et rougi… à la fin, mes couilles pendaient lamentablement, vidées pour longtemps, j’avais de nouveau vomi et m’étais chié dessus, j’en avais partout. Je n’étais qu’une loque, qu’un débris bon à jeter !

Ce qu’ils firent, toujours rigolant, l’objet avait été utilisé au maximum, comme une serpillière essorée vigoureusement jusqu’à la dernière goutte.

Je dus m’asperger avec le peu d’eau qui restait pour tenter un léger décrassage et je m’essuyai avec une couverture qu’ils avaient déniché quelque part… Nu, flageolant et vacillant, ils me regardaient misérablement, ne cachant aucunement le mépris que leur inspirait le sous-homme utilisable à merci !

Les trois autres repartirent en tapant chacun leur tour dans la main de mon Maitre, lui assurant qu’ils étaient prêts à recommencer dès que possible : avec une telle lope… y’a rien de mieux !

Je demandai où étaient mes vêtements… mais Mon Maitre m’ordonna de rester à poil et de le suivre ainsi. Il me remit la cagoule sur la tête, j’avais toujours le collier, marque du soumis, il me saisit alors par là et me dirigea… vers l’extérieur, me faisant sortir de (l’immeuble ?)… à poil dans la rue, encore plus froid car c’était sans doute la fin de nuit… je marchais tel un zombie, trop faible et humilié pour dire quelque chose et encore moins me révolter.

Il ouvrit une portière de voiture, me dit d’entrer… et nous avons roulé jusque chez lui. Il m’y fit entrer, ôta la cagoule et me tendit un sac en plastique. Mes vêtements y étaient ; j’allais m’habiller quand il me fit comprendre que je devais sortir à poil de chez lui et me vêtir dans la rue. Heureusement, c’était le petit matin et il n’y avait personne.

La nuit la plus sordide… un moment d’horreur… et pourtant je fus fier d’être une chienne et j’en redemande encore !

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Lundi 1 février 1 01 /02 /Fév 18:38

Hier après-midi, suis passé dans un des sex-shops de ma ville (un sex-shop avec arrière-salle). Très rare que j'y aille… je n'aime pas bcp atmosphère un peu glauque ! Ça faisait au moins 1 an que je n'y étais point allé… J'entre, jette un coup d'œil rapide, prêt à repartir… et là dans un box un jeune à poil qui se masturbe doucement. Je m'appuie à la cloison, le regarde, car assez beau, puis m'assied sur la couche, tend la main, lui prend la bite et le branle tendrement. Il apprécie aussitôt. Je me fous à poil, me met à 4 pattes et commence à le sucer délicatement. Il est heureux, me le dit.

 

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Soudain un mec arrive et commence à me doigter le cul… Je le laisse faire… il se branle, prêt à m'enculer. Je me retourne et lui dit : “avec capote”. Il s’exécute pendant que je continue à sucer le jeune mec. J'aime : je suce et je suis enculé sans ménagement par ce mec… et je me regarde dans le vaste miroir ! Quelle salope je fais ! Mais j'assume. Je suce fort le jeune, il ronfle presque, tellement il est au bord de la jouissance, je retire ma bouche et avec la main le termine en beauté pendant qu'il hurle comme un goret qu'on égorgerait ! Surprenant.

Mais ça ne trouble pas mon enculeur qui en finit dans un râlement feutré. Les deux se rajustent et j'en vois un 3ème qui attend. Il approche sa bite de ma bouche, je le suce un peu, il durcit aussitôt, me retourne vite et me sodomise à toute vitesse et jouit en 2 mn. Je me rhabille, décidé à partir.

 

Capture45

 

En chemin, je m'aperçois qu'il y a une ouverture à la paroi et j'entends une respiration derrière. Pris d'une brusque envie, je déboutonne mon pantalon, sort ma queue et la tend dans le trou. Aussitôt une bouche me la happe. Mais nous sommes mal positionnés, aussi le type surgit de sa cache, se met à genoux devant moi et me suce. C'est très bon. Soudainement, il se relève et me demande avec insistance de le sucer. Je m’exécute en l'instant. Il a une bonne bite bien dure. Il est maigre, nu avec juste un slip, je lui arrache celui-ci. Et je commence à le lécher et le caresser et l'embrasser de partout : ses fesses, ses cuisses, ses tétons, son dos. Puis je me fous de nouveau à poil et nous nous frottons l'un contre l'autre, d'autres viennent nous regarder mais personne ne se mêle à nos ébats. Nos deux corps sont chauds, avides, sensuels, on se frotte longuement, les bites l'une contre l'autre, dos contre dos, fesses contre fesses, puis il se met derrière moi et se frotte contre moi, puis j'inverse… Et nous reprenons nos fellations, puis nos frottements, puis nous nous mordillons partout, longuement, suavement… Super, enfin, nous nous branlons mutuellement et crachons nos jus sur l'autre. Quelle AM, j'y retournerai plus souvent maintenant !

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Jeudi 14 janvier 4 14 /01 /Jan 18:16
Ma première exhib ici Bel H., 50a, 181, 79, bissex marié,
passif et soumis, aime être traité en lope et slave.
Offre mon cul et ma bouche. Me déplace.

Adore l'exhib sans pudeur en intérieur et extérieur : être maté par un ou des complices pervers, vicieux, autoritaires et même dominateurs.

Arrive, me met aussitôt à poil et à 4 pattes sans discussion pour sucer et gorge profonde car super bonne bouche gourmande, me faire sodomiser direct à fond. Accepte dans le noir ou bandage des yeux.


 P1110249-3.JPGAimant être traité comme une chienne, insultes, claques, fessées, assure bonne vidange à plusieurs mecs exigeants.

M’exhibe en extérieur ou sex-shop. M’exhibe à poil ou en guêpière-bas selon désir puis execute ordres en bon bâtard soumis. Devant d’autres encore mieux pour m’offrir aux autres présents.

Être exhibé, exposé, offert et humilié en public en intérieur ou exP1100993-3.jpgtérieur. Être soumis à poil avec collier et laisse, à 4 pattes, attaché et les yeux bandés par un ou plusieurs DOMIS (H, F, couple), pour tournante et abattage, mise à disposition et backrooms, dans club de sexe, sex-shops, caves, en plein air ... Aussi plans soumission et domination avec insultes et mollards, fessées et claques, uro, bondage, BDSM, BBK, etc.

Mais hygiène, protection obligatoire, aucun coups violents, pas de marques ou de sang et de passages à tabac. Capote pour sodo.

 

 

 

 

 

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Jeudi 14 janvier 4 14 /01 /Jan 18:00

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  • : Le blog de jovialbisesmotherfucker
  • Le blog de jovialbisesmotherfucker
  • : Amateur Hétéro hard
  • : je m'exhibe, montre mon cul et mes aventures chaudes. Être soumis à poil avec collier et laisse, à 4 pattes, attaché et les yeux bandés par un ou plusieurs DOMIS (HF, couple), pour tournante et abattage, mise à disposition et backrooms, dans club de sexe, sex-shops, caves, en plein air ... Aussi plans soumission et domination avec insultes et mollards, fessées et claques, uro, bondage, BDSM, BBK, etc.
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