Vendredi 13 mai 5 13 /05 /Mai 18:45

Mes aventures sans Maitre (8) : ma soumission par un couple Dom dans un club de sexe

 

 

Je me dis que je dois profiter de ma déchéance à fond : j’aime trop ça ! Ça me rassérène ! Enfin, je pourrai me vanter d’être allé plus loin que jamais dans l’humiliation ! (VOIR Mes aventures sans Maitre (7) : ma soumission par un couple Dom dans un club de sexe)

Je m’installe donc dans la position exigée et ils tirent mes jambes pour me redresser, en appui sur le cou, le dos calé sur la paroi.

C’est très malaisé, bien plus que tout à l’heure : suis fatigué et n’ai plus le même désir, d’autant plus que mon cou et le haut du dos appuie sur le bac dur et froid et que ça rend encore plus pénible la position. Ils doivent le constater car je sens des mains qui me saisissent les jambes et m’aident à me maintenir en même temps qu’elles m’écartèlent durement. Combien de temps vais-je souffrir ainsi, offert complètement à leurs regards et leurs envies sexuelles destructrices ?

J’oublie aussitôt mes pensées négatives car des doigts s’introduisent dans mon trou et une main gantée m’oint le cul avec le fameux gel : ça me fait du bien.

Vraiment super ce produit ! Sa main (la fille ? sans doute car la main est fine) me fiste presque, tellement elle introduit profondément le gel ! Puis c’est le gode… jusque-là tout se passe bien… puis elle (il ?) gonfle… vite et fort !

Ouah, la sensation d’embrochage revient subitement et grandit d’autant qu’elle continue à faire enfler le gode. Sensation d’un fist intense : on m’enfile tout le bras, ce n’est pas possible !

Je me mets à souffler fortement et n’y tenant plus, je crie :

- « Maitresse, s’il vous plaît, ç’est trop dur ! »

Après, à la fin de la séance, en me lavant dans les toilettes, la fille me dira que le gode est appelé « Gargantula », ajoutant en rigolant qu’elle était loin de l’avoir utilisé au max !

Plus tard, chez moi, je suis allé voir, sur le site de Meo, le fameux gode que j’ai eu dans le cul. J’ai compris pourquoi j’ai souffert et aussi progressé dans la dilation anale ! Ce gode gonflable noir diabolique de MEO-TEAM est certes excitant mais il double de volume lorsqu’il est gonflé ! Au début, encore assez mince quoique… car dégonflé il a un diamètre de 7 cm… ce qui n’est pas rien et loin d’être absorbé ainsi par n’importe quel trou du  cul non formé !, tu l'insères en toi (longueur 36 cm !), ensuite tu le pompes jusqu'à la taille d'un poignet avec la balle pratique, jusqu'à ce qu'il soit aussi long et grand que le bras d'un homme... jusqu'à ce qu'il te remplisse totalement (gonflé : diamètre 14 cm, longueur 40 cm) !

Attention, la fille m’a dit qu’elle ne l’avait pas gonflé à fond et d’ailleurs je ne l’aurais pas supporté : au-delà de 8-9 cm (ce qui est déjà pas mal du tout), je ne peux pas ! On comprend qu’il faille, pour faciliter la pénétration, un gel lubrifiant efficace (de MEO EZ2 FUCK).

 

Je ressens le trouble qui gagne les personnes qui sont encore là (et les nouvelles ?) : qu’est-ce qu’elle se prend la lope ! Ça les excite maladivement ! Quel spectacle de cirque antique que ce mec qui est humilié au point de subir des abjections comme dans les textes du Marquis de Sade !

J’expire énergiquement, je geins… je souffle encore, je pleurniche… je quémande inutilement en un murmure dérisoire :

- « Maitresse, s’il vous plaît… »

Mais la fille a son moment de sadisme… le gode s’allonge et enfle encore ! Insupportable : vais chier, dégueuler, ça va sortir de partout… même par les oreilles ! Le monstre enfoncé dans mon corps me vrille toute la tête d’une souffrance inconnue… quel calvaire !

Je commence à paniquer, je supplie encore, mais je n’obtiens que des rires… et un gonflement supplémentaire du gode démesuré.

Gardant assez de sang-froid pour rester poli afin que Maitresse ne s’enflamme pas totalement et ne m’ouvre le ventre, je supplie en haletant :

- « Maitresse… s’il vous plaît… mon ventre, mon cul… ils vont exploser, se déchirer… vais crever, SVP ! »

Elle rit encore, la salope, les autres aussi et elle m’annonce sarcastiquement :

- « T’inquiète la lope, y’a encore de la marge ! »

Elle ajoute :

- « Vas-y ma lope ! Gueule, t'aime ça, hein ? Plus tu gueules, plus ça nous excite et plus on te défonce ! »

Elle continue à m’empaler en me détruisant les tripes ! Je suis défoncé en longueur et en largeur ; elle m’éclate, me déchire même ! Je m’ennoie dans mes larmes, mes sanglots et geignements… mais heureusement je peux pleurer sans m’étouffer dans mes larmes car ma cagoule est large.

Peu à peu, derrière l’intolérable perception d’une envie de chier à crever, avec cependant l’impossibilité totale de le faire, ajoutés à une sensation d’empalement qui me broie l’intérieur et semble me désosser par morceaux, transparaît positivement le léger discernement d’une onde de plaisir qui remonte au long de ma colonne vertébrale. Ma bite croît elle aussi petitement.

J’halète, je bave… je sue et je n’ai plus froid ! Tout cela est douloureux, vicieux, mais je m’en accommode doucement, cette perversion commence à m’exciter. Je me dis que je suis un maso et que je suis prêt à tout, en attente de servir complaisamment le jeu de mes Maîtres.

Alors je susurre :

- « Merci Maîtresse ! », m’abîmant dans la plus complète déchéance !

Elle glousse de plaisir, immensément satisfaite d’elle-même ! Oui, elle arrive à ce qu’elle voulait : être une dominatrice implacable que la lope remercie pour sa parfaite ruine.

- « On va te former la lope. Tu deviendras un soumis total ! Pour les jeux les plus pervers ! »

À côté d’elle, les mecs se sont calmés, impressionnés sans doute par ma Maîtresse, son emprise, son sadisme… et par moi et ma capacité à aller si loin dans l’abaissement !

Les quelques-uns qui sont là se souviendront du spectacle : la soumission ignominieuse et la maltraitance contrainte souhaitées par une lope allant au bout de sa dégradation, telle celle d’un animal qu’on abat sans vergogne à l’abattoir ! Je ne suis plus qu’une bête d’amusement.

Mais le spectacle continue maintenant que je suis dans l’acceptation de ma disgrâce douloureuse et servile. J’arrive, certes difficilement, à contrôler ma respiration et mon supplice… y trouvant une certaine délectation de lavette maso !

Je frémis, je remercie mes Maitres, je leur témoigne une éternelle gratitude pour me permettre d’accéder à un tel niveau de soumission et d’abjection. Ma bite gonfle encore : vais-je bander dur de nouveau juste par l’esprit et jouir ainsi ?


- « Ouvre grand ta bouche, salope ! »

Je m’exécute et quelqu’un m’enjambe. Sans doute, le type qui a proposé le jeu. Il plie les jambes et son zob vient frotter ma bouche. Veut-il que je le suce avant de me pisser dedans ? Non, sa queue est là tout prêt de ma bouche pour qu’il puisse m’envoyer tout son jus doré dedans sans louper l’ouverture afin que je gobe tout !

D’ailleurs, il me le dit :

« Bois tout, salope ! »

Il m’envoie alors un petit jet en pleine bouche… que j’avale aussitôt. Il recommence ainsi par petits largages bien contrôlés et j’ingère le liquide chaud sans en perdre une goutte. Il est attentif, il me semble, pour que son jet ne parte pas à côté… et je me dis qu’il doit tenir sa queue à pleine main.

Parfois, il introduit sa bite à l’entrée de ma bouche et propulse un peu d’urine. Soudain, je le sens se redresser : a-t-il mal au dos, plus de pisse… ?

Il m’avertit :

- « Gargarise-toi avec, salope ! »

Il faut bien les amuser, n’est-ce pas ? Il redescend, introduit sa pine, assez grosse bien que non ferme, me largue une petite quantité, se redresse. Je tente de tout garder en bouche et commence le gargarisme, bruyant… ça amuse gentiment les types.

L’un d’eux énonce :

- « Quelle pauvre cloche, cette lope. Encore jamais vu ça ! Un moins que rien, cette poubelle ! »

Un autre ajoute :

-  « Y’a des mecs qui aiment vraiment l’humiliation ! T’as vu sa position devant tous ! Heureusement qu’il a une cagoule sinon… ! »

Oui, j’ai bien fait d’exiger dans porter une, contrairement à ce que voulait au départ le couple Dom. Certes j’assume… mais jusqu’à un certain point : à ce niveau de déchéance, j’aurais trop eu la honte qu’on me reconnût dans la rue !

Enfin, pour conclure le débat philosophique sur l’usage de la lope, deux autres lancent sentencieusement : « Quelle grosse merde ! » et « Sale truie ».

Merci pour les compliments ! Mais c’est bien dit et j’ajouterais : sous-merde, crevure, détritus... Voilà ce que je souhaite être pour les dominants actifs ! Sans doute suis-je devenu un mec qui est moins qu’un objet, qui se laisse faire des trucs ignobles et ne trouve plus son plaisir que dans la souffrance et l’abjection !


Je finis par avaler ! Sa pisse me semble meilleure que les précédentes : je devrais plutôt dire moins mauvaise !

Étonnant, son contrôle ! Pas facile de balancer ainsi de petits jets ! Autour aussi, je ressens que ça s’étonne d’une telle performance : la sienne et la mienne ! Il continue de la sorte lentement et… trop longuement à mon avis. Néanmoins j’engloutis. Première fois que j’ingurgite toute l’urine d’un mec !

Le type a plaisir à m’obliger à tout lamper. C’est sa forme de domination de la lope : ne pas en perdre une goutte, forme de soumission absolue !

Enfin, il en termine. Jamais autant bu de pisse, suis écœuré ! Déjà nauséeux à cause des multiples douleurs, notamment l’énorme truc dans mon ventre qui me troue presque en deux, j’ai la sensation que je vais dégueuler toute la pisse.

J'ai très mal au cœur mais ne vomis pas pour autant : une sensation générale lourde et étrange comme une sorte de malaise indéfinissable, comme si ma tête était volumineuse, pesante et chargée d’une merde liquide en agitation.

Soudainement, je ne suis qu’un puits de souffrance ! Que j’ai mal : partout, dans toutes les dimensions de mon corps, à l’intérieur et à l’extérieur. La souffrance me perfore, me transperce !

Je hurle :

- « Arrêtez ! Marre ! »

Comme s’il constatait une scène d’une banalité quotidienne, quelqu’un dit d’un ton modéré : « Ouais, il doit souffrir comme ça ».

En effet, je souffre et pas qu’un peu.

Surtout je voudrais qu’on me redresse, qu’on me retire cette énorme instrument qui me déchire et qui m’empale du trou du cul au cou, et dégueuler tout mon saoul afin, peut-être, que les lancinants lancements acérés dans tout mon corps stoppent miraculeusement !

Ouf, vite, qu’on en finisse ! Combien de jours va-t-il me falloir avant que toutes les douleurs musculaires, anales, intérieures… disparaissent ?

La Maîtresse est certes compatissante mais elle rappelle au type que je suis son soumis, son objet sexuel et que s’il n’est pas content, il peut se tirer, que c’est elle qui décide ! Elle ajoute qu’en effet, j’ai bien donné, que je suis fatigué et que l’on va cesser.

D’autant plus qu’un mec affirme : « Il en a marre ! Ça se voit ! », tandis que celui qui m’a pissé dans la bouche (je reconnais sa voix) lance : « Me tire, ça suffit ! Bon lopage d’ailleurs, j’en ai bien profité ».

La maîtresse me dira après que c’est lui qui m’a magnifiquement enculé sur le sling. Un type doué, je me dis, qui doit beaucoup plaire à ses divers partenaires hommes et femmes sans doute !

Je discerne un désir d’en finir avec ce lopage. Sans doute considèrent-ils qu’il y a eu une bonne séance, inhabituelle, longue et excitante… que maintenant la lope qui a bien joué son rôle, bien servie, peut se reposer !

Enfin elle dégonfle le gode ! Merci, merci, merci mille fois !

Quel intense bonheur soudain ! Ouah, que c’est bon ! Je n’imaginais pas qu’un soulagement fût aussi jouissif ! Mais la garce le retire d’un seul coup. Quel coup de poignard dans le cul. Je hurle !

- « T’as gueule », dit quelqu’un. Merci, sympa ! J’ai bien servi, faut pas que je la ramène trop en plus, c’est ça ?

On me laisse retomber doucement sur le bac en me retenant les pieds. Ouf ! Je reste là sans bouger… m’explorant et recensant toutes mes souffrances : mal à la tête, toujours envie de vomir lancinante, cul défoncé et détruit, muscles tétanisés, ventre laminé, gorge irritée… Qu’exiger de plus ? Suis tombé au plus bas…

Certains regardent-ils encore cet amas infâme et informe, incapable de se relever car lopé atrocement par dizaines de mecs ? Puis on tire sur ma laisse, je dois me lever…

Que c’est dur ! Pas un mot, on traîne le paquet de sous-merde. Il n’a eu que ce qu’il méritait et il l’a voulu en plus ! Une lope avilie, c’est ça : moins qu’une bête, un objet dont on use et abuse, qu’on peut casser et qu’on case après dans un coin jusqu’u moment où éventuellement ça resservira !


On tire encore une fois sur ma laisse et je m’ébroue puis suit le mouvement. On s’évacue et redescend l’escalier. Je comprends que le couple Dom me ramène aux vestiaires.

Non, ce sera d’abord les toilettes avec la douche. Une fois entré dedans avec eux, ils m’enlèvent le collier et je peux ôter ma cagoule. Ouf, quel bien fou ! Le mec me demande si je veux me laver. Évidemment qu’une douche va à la fois me nettoyer car j’ai des jus collés au corps, atténuer mes douleurs et en plus me rasséréner un peu !

Le couple Dom assiste à mon décrassage tout en devisant : on peut dire qu’il s’agit d’une sorte de court débriefing ! D’abord, la fille me fournit certaines informations sur mon lopage (celles que je vous ai données au fil de mon récit). Ensuite, ils m’annoncent que j’ai été parfait ! Ils ont vraiment beaucoup apprécié et recommenceront car c’était la première fois qu’ils se lançaient ainsi ! Puis ils me demandent mes impressions.

Certes je suis plein de douleurs mais, moi aussi, j’ai énormément affectionné ce moment fou ! Et je suis prêt à recommencer, la fille ajoutant aussitôt qu’ils iront peut-être encore plus loin ! J’en ris mais je me demande bien ce que l’on peut faire de plus… Bof, je verrai bien si ça arrive.

Je leur explique que, avec le poppers, en me gazant à fond comme ils l’ont fait, c’est certain que ça me rend encore plus chienne : je pourrai faire n’importe quoi tel que déambuler à 4 pattes sur aire routière, forêt ou sex-shop devant public, subir leurs attouchements, claques, pincements et insultes…

La fille rit et elle ajoute :

- « Mais c’est exactement ce que tu as fait sous nos ordres ! »

Bon alors j’irai encore plus loin dans la déchéance la prochaine fois.

J’ai adoré aussi l’exhib avec poses humiliantes : cette position vraiment dure et exigeante avec le gode monstrueux qui me trouait… moment intense de dégradation publique qui m’excite complètement !

C’est pourquoi j’ai regretté qu’il n’y ait pas de photos et vidéos. Mais ils m’expliquent qu’eux préfèrent ainsi : on se fabrique des souvenirs plus forts, l’oubli nous permet de recommencer en croyant découvrir, etc. Pourquoi pas ? Mais j’aurais aimé me voir dans ces positions abjectes !

De même, j’exprime encore que être attaché, menotté est pour moi une sensation étrange d'être impuissant sous les coups de bite, dans la gueule, dans le cul, à tirer sur les cordes ou les chaines mêlée à l’angoisse du début qui se double ensuite de volupté.

C’est absolument nécessaire dans une séance de domination sinon je suis insatisfait tout comme je le suis si je ne suis pas baisé à la chaîne : pour moi le summum de la jouissance et de l’excitation et, sous poppers, c’est encore plus intense ! Le « sling » pour tout ça est vraiment l’endroit idéal !

Seule ombre au tableau : le risque qu’un mec fasse abstraction du préservatif (omission ou défection de la capote). C’est pour ça qu’il est souhaitable d'être pris en charge par un dominateur jouissant de voir sa lope jetée en pâture à une bande de queutards mais veillant également au bon déroulement des opérations.

Enfin, l’uro a été un moment génial, oh combien douloureux quand le type a imposé de nouveau cette position atroce… mais je voudrais déjà recommencer !


Enfin, je remercie Mes Maitres pour m’avoir appris, en toute sécurité !, à servir d'objet sexuel pour plusieurs personnes, à avoir le goût de les servir un à la fois et pour le dessert tous en même temps, à recevoir du sperme partout sur le corps, une super golden shower et à tripper pendant des heures.

Merci de m’avoir exhibé et d’avoir fait de moi une larve sexuelle sans aucun répit : devant, derrière, dessus, dessous, à l’endroit, à l’envers, uro, bukkake… ; j’ai pu vider moult queues, on m’a maté, tripoté sans vergogne, on m’a attaché et avili pleinement. Quelle magnifique jubilation : je n’ai plus été qu’un tire-jus sans aucun choix sur les gars ; seul le nombre et la perversité ont été importantes.

Je vois une intense satisfaction se marquer sur le visage du couple ! Ils ont aussi pris un grand pied à dominer une aussi bonne salope incroyable !

Peut-être nous reverrons-nous ? Sur ce constat, on se quitte et je me rhabille rapidement, ne voulant pas être reconnu par quelqu’un. Mais à ce moment-là il me semble qu’il n’y a plus grand-monde. En tout cas, je sors vite et le plus discrètement possible… espérant rapidement renouveler ce jubilatoire et orgasmique moment !

Par jovialbisesmotherfucker - Publié dans : exhib hard
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Mercredi 11 mai 3 11 /05 /Mai 17:05

Mes aventures avec Mon Jeune Maitre (2) : Notre 1re virée en forêt

 

 

SUITE de Mes aventures avec Mon Jeune Maitre (1) : Notre 1re virée en forêt

 

- « Encore plusieurs fois et plus fort ».

Je beugle la même phrase plusieurs fois jusqu’en avoir mal à la gorge. Je sens LM ravit.

- « T'es qu'une larve qui ne sait plus que se comporter comme une bonne salope à ma disposition. »

En même temps, les claques, les pincements et les coups pleuvent sur mon corps.

- « Réponds à ton Maitre Putasse ! » 

Alors, je crie : « Oui, Maitre, j'adore, encore Maitre ! »

LM continue : « Confesse-toi, grosse merde, et explique-moi pourquoi t'es une larve et un sous-homme ? »

Alors j’énonce lentement :

- « Petit à petit, je suis devenu de plus en plus passif et soumis… enfin totalement obéissant et incapable d'avoir un rôle dominant ou actif. Maintenant, je ne suis qu'une putasse prête à offrir à qui le veut ma bouche et mon cul pour servir de vide couilles, à lécher, à être attaché et puni même sévèrement ; on joue avec mon sexe, mes couilles et mes tétons et, si tel est le plaisir des Vrais hommes, on me féminise… Ils peuvent m'humilier avec des jeux pervers et imaginatifs, me pisser dessus, m'exhiber, me transformer en pute docile qu’on met à disposition de ses amis ou d'autres... »

LM dit : « J'aime pouvoir te donner les consignes et que t'exécutes sans moufter. »

- « Oui Maitre, je suis là pour ça ! Je dois servir pour toutes les pratiques de BDSM que vous souhaitez : Bondage, Domination et Soumission, Punition, Exhibition, Humiliation, Douleur et Contrainte, et Appartenance. Je suis votre soumis total, à votre entière disposition ; je suis prêt à m'offrir pleinement et à obéir à tous vos désir et ordres quand vous le voulez, où vous le désirez, avec qui vous le souhaitez ; vous décidez presque tout pour moi. »

LM susurre :

- « Ah, j'aime entendre ça, ça me refait bander bien dur, Pute de merde ! »

Le Maitre a de nouveau sa verge ragaillardie : forte et dressée ; à cet âge-là, ça revient vite, je me le rappelle et me souviens que j’étais capable de baiser 2 fois de suite les femmes à cette époque, les traitant comme des vide-couilles à mon service d’obsédé du sexe.

Il s'installe derrière moi et m'encule encore durement et longuement. Il m’embroche comme une vulgaire putain tout en me claquant le cul ; il me lime furieusement comme pour tester mon endurance aux coups de bites...

Il braille :

- « Couine, ma truie, j'aime les putes qui se lâchent bien… »

Je couine comme une petite chienne bien servile envers son Maitre. Les hanches du Maitre sont maintenant collées à mon postérieur.

- « Tu la sens ma bite, grosse salope ? Tu sens comme je t’encule à fond ? »

Il est profondément planté en moi un long instant puis se retire lentement. Son pénis bandé au maximum palpite en face de mon orifice distendu et il me tient fermement par les hanches. Mais tout de suite il se replace et sans attendre, il s’enfonce en moi violemment. Je pousse un cri, plus de surprise que de douleur.

 - « T’aime ça hein ma pute ? Ça t’excite de te faire enculer comme une truie ? T’es une salope hein ? Dis-le que t’es une grosse salope et que t’aimes que je te bourre le cul ! »

Je voudrais pouvoir me masturber comme un dément en encaissant les terribles coups de bélier de mon Maitre.

- « Oui c’est ça ! », se met à hurler LM, « Serre ton cul, salope ! Essore-moi les couilles, charogne ! »

Il s'arrête enfin et me détache :

- « À genoux la chienne ! »

Il retire le préservatif, m’appuie sur les épaules pour que je me mette à ses pieds et crie :

- « Suce à fond crevure ! »

Il me tire durement par les cheveux pour m'enfoncer sa queue dans la bouche ; puis il me saisit la tête avec ses deux mains et me maintient ainsi jusqu'à ce que je sois au bord de l'étouffement complet !

Ça m’a paru fort long mais, enfin, il sort sa bite, la frotte sur ma figure et finit par éjaculer tout ton sperme chaud (j'adore cela) sur mon visage. En gémissant, il m’ordonne d’étaler son foutre sur toute ma gueule et de rester ainsi avec le jus sur moi.

Au bout de quelques instants pendant lesquels il a récupéré, il me dit :

- « Bon, ma crevure, il s'agit de te nettoyer un peu maintenant ! Et de plus j'ai envie de pisser. Tends-moi ton visage de chienne soumise. »

Je sais ce qui m’attend… Là encore je m'exécute tel que le souhaite mon Maitre. Je bascule la tête en arrière et lui tends mon visage et je patiente en fermant les yeux et la bouche. Le Maitre tient sa pine à moitié débandée entre son pouce et son index et la pisse jaillit, m’arrosant par de petits débordements de pisse. Des jets brefs et puissants viennent percuter ma peau. Il m'en arrose copieusement le visage mais aussi tourne autour de moi et m'en répand sur les épaules, les fesses et devant, sur le torse et la bite, partout sur le corps, en criant :

- « Un vrai sac à pisse. Tu es vraiment une grosse salope toi ! »

Entre chaque jet, il aime me parler :

- « Regarde ce que je te fais, t’es qu’un pourri de bastard. »

- « T’es un simple urinoir, ma chienne puante !"

- « Tu sers vraiment à rien, sous-homme ! Sauf à donner du plaisir aux Vrais !"

- « Je fais ce que je veux de toi, t’es ma lope soumise !", etc.

Moi, je ne réponds pas, j’encaisse juste les jets d'urine sur mon corps.

Le Maitre a du plaisir, je le ressens bien, il adore me voir là, humide, humilié, ruisselant de son urine. Ma respiration est saccadée et il observe les gouttes qui tombent de mon visage. Tant pis pour moi, il pense, ce n’est qu’une merde à utiliser comme on veut ! Il me laisse là, quelques longues minutes, entièrement mouillé ; je m'imprègne de cette odeur de pisse et surtout j'ai froid et je tremble. Mais pour Le Maitre l'idée de faire durer l'humiliation est exquise !

 Malgré le froid, c’est un moment enchanteur. Quel plaisir de me faire uriner dessus par Le Maitre et de lui offrir mon humiliation. Quel bien-être il a ! Et je suis heureux pour lui ! Enfin, je le remercie pour ce qu’il me fait subir.

Mais le Maitre me retourne :

- « Attends grosse merde, c'est pas tout à fait fini. D'abord, tu vas te branler devant moi, sous mes ordres comme la larve que tu es et que je récompense car tu as bien servi ton Maitre ! Puis tu t’essuieras et tu retourneras à poil à 4 pattes avec la laisse jusqu'à la voiture, comme un bon toutou que je promène, grosse putasse ! »

En effet, ce n'est donc pas fini. Je suis un peu épuisé mais je dois continuer à servir LM comme une bonne chienne, bien salope et à dispo !

Le Maitre dit :

- « Appuie-toi dos à l'arbre et branle-toi fort et durement en t'insultant de toutes les façons ! »

Je m'installe, fatigué, et commence à me branler doucement mais Le Maitre n'est pas content :

- « Plus fort connasse et je veux t'entendre ! »

Je redouble de vigueur et exprime en même temps tout ce qu'il me passe dans la tête :

- « Suis qu'une grosse merde, au service de Mon maitre, pour les Vrais Hommes !» ;

- « Suis ton bon soumis passif et docile qui a besoin d'un bon Maitre patient et dur comme toi. J'ai besoin de me soumettre ! »

- « Suis totalement soumis, totalement prêt, extrêmement et totalement ouvert pour vous, usez et abusez de moi, ô Maitre, humiliez-moi  et baisez-moi brutalement... mon corps est totalement, et sans exception, la possession de mon Maître et il peut en faire ce qu'il veut, y compris des éléments de forte douleur et l'humiliation... »

- « Suis une Merde, une Lope vide-couilles... qui doit subir Bondage torture des seins et couilles Humiliation  Chaines Stress Attachements et Positionnements durs… »

Je me mets à énumérer toutes les pratiques que j’ai subies ou  que je connais de nom :

- « …Electro Poppers Pisse Cordes Colliers roue dentée Cire chaude de Bougie croix sexuelle de St André pinces a poids Pinces à linge sur tout le corps Féminisation Forcée Sissification Groupe scènes d'abus Exhibition Cages urinoir humain Esclavage et Vente forcée Fessées Captif BDSM pinces chinoises boules piquantes Tirage des couilles, bouche et cul ouverts et offerts… »

Je crie tout ça en me branlant à mort et soudain je lâche tout sous le regard moqueur du Maitre qui me traite de tous les noms qu'il connait !

C’est bon : j’ai rarement joui aussi excellemment ! J’aime jouir dans la souffrance et l’avilissement !

Alors que je croyais LM satisfait et prêt à repartir, il m’annonce que je dois lécher mes gouttes de sperme sur l’herbe. Je regarde, ne les vois pas car où ont-elles giclé ? Mais LM insiste, alors je me mets à genoux et lèche l’herbe à divers endroits…

- « Bon ça va, putasse de merde ! »

Ce jeune Maitre aime beaucoup l’insulte. Il manque d’une certaine emprise mais ça viendra avec l’expérience.

- « À quatre pattes maintenant, on va à la voiture ! »

Je m’installe et lui tends la laisse ; il la saisit et tire brutalement dessus. J’essaie de suivre le rythme… mais c’est dur et j’ai mal car je m’érafle sur les mains et les genoux !

À la voiture, je peux me rhabiller, l'odeur de pisse m'enveloppant et je me trouve dégueulasse car je n'aime pas mettre mes vêtements propres sur mon corps sale !

Je le dis au Maître. Il se marre franchement :

- "T'es qu'une pute, lope et chienne qui se vautre dans l'abjection et la déchéance et tu voudrais être propre, salope ?"

Je prends conscience qu'il est inutile de tenter de lui expliquer les subtilités des personnalités et des jeux que l'on assume. Tant pis !

En montant dans la bagnole, Le Maitre me dit :

- « Salope, tu conduis les couilles à l'air ! »

Je m'exécute sagement et rapidement, craignant une réaction brutale du jeune Maitre. Rien ne se passe, il semble repu comme après un bon repas où l’on est relaxé et reposé et on n’a plus envie de quoi que ce soit.

Mes couilles à l’air, je ramène le Maitre ; enthousiaste, il me dit :

- « Vite, salope d'esclave, une autre séance ! »

- « Oui, Maitre, avec grand plaisir dès que je peux ! »

Par jovialbisesmotherfucker - Publié dans : exhib hard
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Mardi 10 mai 2 10 /05 /Mai 00:39

Mes aventures sans Maitre (7) : ma soumission par un couple Dom dans un club de sexe

 

Plus tu fais la lope, des tournantes et de l’abattage, plus tu as envie de le refaire. Je dois dire que j’ai découvert ça depuis 3 ans environ et que je ne m’en lasse pas ! Au contraire, je trouve génial de faire la chienne et de se faire sauter et remplir de queues par des inconnus, même si tu as le cul tout endolori plusieurs jours.

Pourtant, je ne choisis pas mes partenaires : le but est que je serve de trou à bites, pas que je prenne mon pied.

Un esclave, un soumis comme moi doit juste s’offrir pour servir de vide-couilles, être un jouet à mecs, même si la plupart des quidams qui te baisent sont des hétéros, des vieux, des moches et qu’ils te mollardent dessus (tiens, j’en ai peu eu ce-jour-là au sex-shop) ; ils viennent juste se vider les couilles, ils ne savent même pas que tu existes ; ce ne sont que des défonces forcées par des mecs bourrins,  des baises hyper hard sans choix !

Je reconnais que ce n’est pas toujours évident car il y a des risques : d’abord, le plus souvent, avoir mal au cul pendant plusieurs jours, surtout que moi ce que j'aime (vous l’avez sans doute compris), c'est être dominé violemment (c’est-à-dire avec des insultes et mollards, des baffes et des coups et les mains attachées) et être défoncé même à sec.

Aussi il peut y avoir des fissures dans l'anus qui font mal pendant le limage et après… et, suivant le nombre de bites qui te dérouillent et selon leurs tailles, les fissures sont plus ou moins douloureuses. D’ailleurs, plus facile et moins douloureux est d'être attaché sur un sling et le cul offert que d’être pieds et poings ligotés à un établi ou autre mobilier sur un chantier et d’être bourré devant et derrière inlassablement : 20 voire 30 gonzes te dérouillent et là c’est en plus no kpote !

Malgré tout, il m’en faudrait régulièrement et quand je suis un moment sans, je suis en manque : quand tu es habitué à te faire saillir, ton cul est souvent en feu ! Une vraie drogue, une addiction totale ! En tant que salope, ma vision des choses est que les salopes, ça sert à ça : s'offrir à tous, quel que soit l'âge, le physique, et  s'avilir complètement.

 

(Voir Mes aventures sans Maitre (2 à 6) : ma soumission par un couple Dom dans un club de sexe).

On me détache posément pendant que je me repais de ce moment délicieux. Quel pied !

Mais alors que j’en suis encore à profiter et que j’aimerais savourer… on me saisit par la laisse rudement, me tire méchamment et je tombe presque du sling.

La fille dit :

- « T’inquiète, c’est pas fini, tu vas encore servir la lope ! »

Que va-t-il se passer ?

Je pensais que c’était  terminé et que j’allais apprécier un retour au calme, notamment pour mon cul, quand même assez malmené ! Au contraire, je dois encore m’offrir, assurer d’être un vide-couilles total et endurant. J’en ai bien conscience : c’est mon statut, que je dois assumer absolument !

- « Approche ! »

On me tire encore et m’agrippe par le cou. Dans le mouvement, mon tibia heurte douloureusement une sorte de muret bas… connaissant les lieux, j’identifie le bac de douche surélevé.

Ils veulent que je m’y installe… on m’y pousse, je monte dedans et je saisis, m’appuyant fortement sur la nuque, que je dois m’y placer à genoux ou accroupi. D’ailleurs, au même instant, la fille me le crie :

- « Accroupis-toi, la lope ! »

J’obtempère sans barguigner… prêt à tout comme à mon habitude !

- « Qui lui pisse dessus ? »

Huuuummmmmmm ! Pour mon plus grand bonheur, les mecs qui m’ont baisé (ou d’autres, peu me chaut) vont me pisser dessus ! J’adore ça !

J’espère que ce sera sans modération, en me traitant de tous les noms ! Je suis tellement excité que je banderai presque, je mouille comme une bonne pute !

En effet, nous en avions discuté et j’avais donné mon accord pour être non seulement receveur sur tout le corps mais aussi buveur !

Par exemple, j’aime me gargariser avec mes propres fluides corporels et savourer le bouquet sur mon palais comme s'il s'agissait d'un bon vin. En effet, l'urine contient normalement 95 % d'eau, 2,5 % d'urée et 2,5 % de substances diverses. Ces substances diverses sont des substances minérales (sodium, potassium, calcium, magnésium, chlorure, sulfates, phosphates) et des substances organiques (urée, créatinine, acide urique, acides aminés, enzymes hormones, vitamines). En conséquence, dans la pisse, on ne retrouve finalement que des produits présents dans le sang. La toxicité de certaines substances, comme l'urée n'existe que s'il y en a beaucoup dans le sang. Or, dans la pratique, l'absorption d'urine n'entraîne pas d'excès d'urée puisqu'elle n'arrive pas directement dans le réseau sanguin. Boire de l'urine n’est donc pas toxique.

Il se passe quelques instants, la fille insiste :

- « Pas envie de doucher de pluie dorée la lope ? En plus, elle la boit ! »

Pendant ces minutes, je suis inquiet : personne n’est intéressé ?

Je suis étonné car, en général, c’est une humiliation que les types aiment bien, et justement de la part de ceux qui ont seulement regardé, qui n’ont pas voulu, pour une raison ou une autre, baiser la lope !

Heureusement, la fille par sa déclaration suivante me rassure et je comprends que ça va se faire !

- « C’est ça ! Venez le terminer en le pissant copieusement ! Cette sous-merde adore ça : être totalement avilie ! »

Je ressentis qu’on m’entourait : combien, je ne sais pas… mais plusieurs, je dirai 4 à 6 mecs devaient être là ! Soudain, les premiers jets m’arrivent dessus, sur les épaules et le torse, dans le dos… et ça me dégouline partout.

La fille crie :

- « Lève la tête, la lope, et ouvre grand ta bouche et bois tout ! »

Une fois de plus, j’obéis instantanément. Je redresse ma tête et ouvre grand la bouche, prêt à avaler la pisse chaude des inconnus qui m’humilient !

C’est plutôt dégueulasse ; leur pisse a mauvais goût : saveur forte, salée et pas mal âcre car ces mecs ont l’organisme intoxiqué et ils auraient grand besoin de se nettoyer.

Et encore ce ne sont pas les premiers jets… les plus dégueulasses, plein de bactéries et d’ammoniac qui fait sentir votre pisse et lui donne cet exécrable fumet… à ne pas consommer… alors que le goût de l’urine peut être assez agréable si corps désintoxiqué et qu’on a bu beaucoup d’eau.

Ça fait des années que je me suis habitué d’abord à boire ma pisse puis celle des autres, donc je sais. Un jus clair d’un corps propre et pas intoxiqué ne pose pratiquement pas de problème : en revanche, difficile de boire de l’urine après un effort physique intense ou après avoir avalé des boissons ou mets forts.

Malgré tout, j’offre ma bouche, complètement béante comme l’a été mon cul ! Même si les jets s’entrechoquent et donc pas mal de pisse tombe sur mon menton ou mon cou, j’en absorbe une grande quantité et j’avale… tentant d’en ingurgiter le plus possible malgré l’écœurement !

Toutefois, je ne ressens aucune humiliation à me faire pisser dessus et à boire la pisse d’inconnus qui m’utilisent comme un objet, bien au contraire ça m’excite beaucoup, même si leur jus doré à mauvais goût.

J’ai l’impression qu’ils ont amorcé la pompe et que leur pisse est un flux constant. J’en bois des litres, il me semble… et j’en suis totalement recouvert : un voile de pisse m’enveloppe ! Puis ça s’arrête presque d’un coup comme si tous en même temps n’avait plus rien à donner.

En cuir, ma cagoule n’est pas détrempée ; heureusement que je n’en ai pas mis une en spandex, plus souple et ajustée au visage, qui aurait été gonflée de pisse et dans laquelle j’aurai eu la sensation d’étouffer !

Toutefois, j’aimerais quand même retirer celle-ci car les yeux me piquent ; en effet, si la pisse a en partie glissé dessus la cagoule, il en est rentré par les interstices autour de la bouche, me poissant le menton et le cou, et des yeux aussi, puisque les obturateurs seulement clipsés baillent et laissent donc passer du liquide facilement.

J’attends : est-ce terminé ? D’autant que malgré la pisse qui m’inonde le corps, j’ai un peu froid soudainement. La fatigue, la tension qui retombent ?

C’est encore la fille qui relance le jeu de la lope qui doit servir au maximum !

- « Pas d’autre pisseur ? Vous avez vu, elle adore ça, cette connasse de lope ! Allons, un bon mouvement, faites-lui ce plaisir à cette sous-merde ! La lope n’a droit qu’à l’avilissement, offrez-lui son seul bonheur ! »

Elle continue à dégoiser de la sorte… j’ai mal aux cuisses, accroupi ainsi depuis… quand ? Alors, on poursuit ou pas… de toute façon, j’ai abdiqué toute fierté depuis longtemps !

Ils n’ont pas compris ? Ils peuvent persister : je n’attends que ça, servir de chienne et être l’esclave de leur bon plaisir, les vider de tous leurs jus !

- « Reste là, la pute, t’as pas fini ! »

En effet, je sens une bite molle, âcre et suintant l’urine, qui se colle contre mes lèvres.

- « Suce, la lope. Ils ont envie que tu les resuces ! »

Alors j’ouvre la bouche, moi aussi mollement, car je ne suis plus dans le trip… et je suçote lentement… manquant d’ardeur…  

Je me prends une mandale d’enfer qui m’éclate la tête et m’arrache le zob de la bouche (je pense : il a dû avoir mal le type !)

La fille est mécontente, le son de sa voix le montre :

- « C’est pas fini, connasse ! Donc tu suces bien sinon y’aura des coups maintenant ! »

Je m’active et prends mieux en bouche la bite (ou une autre ?) qui s’y remet. Mais l’engin malgré ma fellation consistante reste plutôt mou…

Une voix assez rauque inconnue suggère :

- « Remettez-le en position ! Comme au début, plié en deux, jambes en l’air et gode dans le cul, je vais lui pisser dans la bouche comme ça ! »

Ouh la la, pas ça ! J’en ai marre… voudrais retirer la cagoule, me laver et partir…

Merde ! Le salaud ! Encore un voyeur qui a profité du spectacle et qui, alors que tout devrait se terminer, par sadisme, va prendre son pied en jouissant de la dégradation totale de la lope épuisée ! Il faut que je continue à faire la chienne pour leur bon plaisir.

Je m’y résous donc… sans joie ! Surtout que si c’est encore le gode gonflé à bloc, mon cul va morfler méchamment et là j’aurais mal pendant combien de temps ?

J’espère que sa pisse n’est pas trop dégueulasse !

- « Allez en position, la lope ! »

Elle aime cette appellation la jeune dominante : la lope ! Normal puisque je ne suis qu’un matériel de jeu pour elle !

J’ai accepté, j’assume et j’essaie de retrouver du plaisir à aller encore plus loin dans l’abjection. Quand tu en es à ce point, tu ne peux pas diriger et décider qu’à un moment tu en as marre et que c’est fini. Ton statut t’amène à être dominé et à devoir accepter même l’inacceptable.

Ai-je déjà fait aussi fort ? Oui, je repense à la fois où mon Premier Maître m’a lopé pour la première fois (Voir : Les aventures avec mon 1er Maitre (6) : mon premier lopage avec plusieurs mecs) !

Ce fut atroce : longue peur incessante mêlée d'une humiliation diabolique… mais depuis je voudrais retrouver cette excitation incroyable surdimensionnée qui m'a fait jouir abondamment du cul et de la bite !

Par jovialbisesmotherfucker - Publié dans : exhib hard
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Mercredi 4 mai 3 04 /05 /Mai 12:35

Mes aventures sans Maitre (6) : ma soumission par un couple Dom dans un club de sexe

 

Au bout d’un moment (assez long il m’a semblé… mais je suis hors réalité et j’ai donc du mal à discerner), les bites s’espacent… (VOIR : Mes aventures sans Maitre (2 à 5) : ma soumission par un couple Dom dans un club de sexe)

N’y a-t-il plus personne ? Pourtant, j’entends des chuchotements plus ou moins loin de moi. Que disent-ils ? Est-ce le couple qui discute de ce qu’il va m’arriver plus tard ? Peut-être car le type du couple dit :

- « Et maintenant le sling ! Salope, t’es attendu pour ça ! ».

Ah, je suis content car j’adore être sur un sling complètement offert ! C’est mon plus grand plaisir. Le gars détache la laisse et tire dessus pour me relever mais me laisse les mains menottées. Il appuie brusquement et énergiquement sur ma tête, je me baisse et je le sens saisir le gode que j’ai dans le cul depuis le début des fellations puis il me l’arrache d’un seul coup, très brutalement ! Je crie ! Le gode a fini par se coller à mes parois anales et je souffre énormément. Alors j’ai droit à une bonne claque sur la gueule et je me reprends aussitôt, ne disant plus rien mais pleurant de douleur sous mon masque.

Il me tire et je déambule à leur suite quelques minutes car ils rameutent du monde :

- « C’est le sling maintenant ! », « Qui a envie de l’enculer ? », « La salope va encore bien servir ! », etc.

Puis on monte l’escalier en fer qui grince comme à chaque fois, mais bien plus fort et longuement que d’habitude, ce qui me permet de comprendre qu’il y a pas mal de monde qui suit la crevure à son supplice.

Le sling de la petite salle du fond est bien fait, large et épais et tenu solidement par plusieurs chaînes. On m’enlève les menottes et, avant de m’y installer, on me redonne du poppers. Ah, ça faisait longtemps. Je dois être bien excité et donc je sniffe de longues rasades du fluide… jusqu’à ce que la tête me tourne.

Le ressentant, le couple m’installe sur le sling et, alors que je suis parti et que j’ai hâte qu’on me défonce, ils me fixent dessus, les bras en croix, fermement attachés  et serrés, et les cuisses bien écartées, les pieds aussi  ligotés fortement et levés haut… aussi mon trou du cul est-il bien exposé, en offrande… Cette position m’excite et, associée à la chaleur du poppers, je sens ma bite se gonfler et j’ai envie d’être très chienne ! J’ai un incroyable désir de bites ; mon trou du cul, ma bite et mon corps me démangent…

PUTAIN ! J’ai un besoin absolu de me faire enculer à la chaîne encore et encore, sans répit… surtout que l’un deux me redresse la tête et j’inhale plusieurs fois leur bon poppers. Des bulles dans le cerveau ; dans tout le corps j’ébulitionne comme un damné, prêt à toutes les abjections et sordidités. Que ça commence ! Vite !

À ce moment, je sens une bite qui me titille l’entrée de mon trou ce qui me rend dingue, PUTAIN ! Qu’est-ce qu’il attend pour me baiser ce con… ? J’ondule du cul pour lui faire comprendre que j’en veux plus… Ah, il s’enfonce d’un coup, que c’est bon… mais sa bite est normale… je suis un peu déçu quand même… qu’il se dépêche… qu’il jouisse et qu’un autre avec une grosse bite me défonce à fond ! Je perçois que des mains me caressent le torse, me palpent les couilles, me les enserrent. Deux mains me saisissent la tête durement et me la tournent afin que j’enfourne une bite bien dure ; j’entends une exhortation ferme et injurieuse :

- « Suce, sale salope de merde ! »

Je me dis : qu’il la réserve pour mon cul ! Mais je suce quand même, espérant qu’il ne va pas jouir et qu’il attend ainsi, se la faisant lubrifier afin de mieux l’enfourner dans ma chatte demandeuse.

Le poppers s’effaçant, je reprends pied avec la réalité et comprends que je n’ai même pas fait attention si les mecs mettent des capotes ou pas. Puis je me dis que le couple y veille… et je m’en fiche. Mon trou du cul est si béant que les types s’y succèdent presque instantanément, s’y engouffrant sans ralentissement, direct et à fond.

Suis-je normal ? Combien sont-ils à se vider les couilles et à m’être passés dessus depuis le début ? Au début, c'est un plaisir, occasionnellement, à la longue, ça peut être un calvaire. Parfois je me dis : plusieurs mecs, oui ! Mais plus dans de telles conditions et quand le plan est terminé, je m’avise que je ne recommencerai plus ; cependant, quelques jours plus tard, j'en redemande.

Et pour l’instant, sur le sling, j’en veux encore ! Si les deux ou trois premiers ont vite joui, l’actuel, mieux membré, bien qu’il s’active vivement, dure et semble prendre du plaisir à prolonger. Ses va et vient sont puissants, maintenus, j’adore ! Mon excitation s’est continuée… et d’ailleurs un mec en profite pour me branler assez tendrement… Celui dans mon cul jouit brusquement en un long râle puissant, s’affaissant sur moi et gênant le branleur.

Le type dans ma bouche a continué à m’insulter sans arrêt tout en me la fourrant profond mais il se retire… et je comprends qu’il prend la place du précédent. Oui, encule-moi à fond, déchire-moi avec ta grosse bite raide et concupiscente ! Alors que le branleur a cessé de m’astiquer la queue, quel dommage, je l’entends déchirer l’enveloppe d’une capote puis me lubrifier le cul de gel. Pourquoi ? Je n’ai ai pas besoin ! Je sens son gland se positionner à l’entrée de mon trou ; il pousse, lentement sa bite rentre, c’est trop bon, je lâche un râle :

- « Huuummmm, défonce-moi ! »,

- « Salope, vais pas te louper ! »

Je suis dans un tel état d’excitation que je couine comme une chienne en criant :

- « Huuuuummm… baise moi comme une truie… vas-y… défonce moi… pine-moi… vas-y… ! »

Le mec ne dit plus rien… seul son souffle attisé est perceptible. Puis il crache de nouveau :

- « Salope, te défonce… », « T’aime ça, ma salope, hein ? », « T’es vraiment qu’une merde à défoncer », etc.

Il a besoin de salir et d’invectiver pour arriver à satisfaction. Mais j’aime beaucoup me faire traiter comme un moins que rien… ce que je suis et revendique. Ses va et vient se font de plus en plus rapides, plus forts… et soudain, en s’enfonçant au plus profond de mes entrailles, il se vide les couilles, glapissant bruyamment tel une bête en rut. Il se retire et s’en va… et plus rien car je ne sens plus de mec pour me reprendre ! 

Or, j’en veux encore : qu’on me défonce pendant des heures jusqu’à ce qu’épuisé je ne puisse plus bouger ! J’ai le feu au cul et il me faut encore de la bite. J’entends la fille qui clame :

- « Alors, plus personne ? Allez, profitez-en, une lope comme ça, y’en a pas souvent ! Videz-vous ! »

Heureusement, je n’attends pas longtemps avant de sentir une autre bite s’engouffrer dans ma chatte pour me piner sauvagement.

-  « Baisez-moi, j’en ai besoin ! Encore…oui… huuuummm… encore… toujours plus… t’arrête pas… »

J’ai la bite qui me fait mal tellement j’ai envie de me branler et de jouir mais je ne peux pas car les mains attachées ! Les salauds, quel calvaire, ce couple est vraiment sadique… Le mec qui m’encule le fait en cadence et régulièrement, sans forcer… et ainsi il tient un bon moment et c’est trop bon. Quand il jouit soudainement, j’ai le plaisir de constater qu’un autre s’engouffre… C’est délicieux, suave sauf que je voudrais furieusement me branler. Alors je le crie :

- « S’il vous plaît, branlez-moi ! À mort ! Videz-moi ! Vous en prie ! »

La fille va-t-elle accepter qu’on me branle ? Ma supplique est entendue et une main me saisit la bite. Ouf, quel pied ! Une autre me prend les couilles et me les malaxe… trop bon. La main m’astique sans forcer et régulièrement  mais bien de bas en haut, sur toute la longueur… j’essaie de me retenir pour en profiter au maximum.

Pendant ce laps de temps (combien ?), on continue de m’enculer… j’ai trop besoin qu’on continue à m’embrocher et me bourriner le cul. Est-ce le même… un autre ? Je ne sais plus et peu importe, fixé que je suis sur mon excitation, mon besoin de jouir et aussi de résister afin de bénéficier de ces instants d’intense plaisir le plus longtemps possible. Je me fais enculer comme ça et branler encore quelques minutes… puis, n’y tenant plus, alors que la main a accéléré d’un coup ses mouvements, je largue la purée en hurlant et râlant comme l’heureuse salope que j’aime être. Le sperme jaillit abondamment, je le sens, et la main ne s’arrête pas… je dois balancer de la crème partout !  Je me laisse aller, continuant à râler d’autant que la main ne lâche toujours pas ma bite et accompagne mon atterrissement en me caressant doucement. Je sens du sperme sur mon ventre. La main (la même ?) le prend entre ses doigts et me le fourre entre les lèvres. Je suis profondément heureux… affalé dans le sling, avalant quelques gouttes de mon jus, après avoir été défoncé longuement et vidé plusieurs mecs (après coup, c’est le cas de la dire, la fille m’apprendra que 11 mecs me sont passés dessus ! Onze, quelle chance, quelle défonce du cul et d’ailleurs, je l’ai bien senti pendant plusieurs jours !

Le fait d’être baisé à la queue-leu-leu (si j’ose dire !) constitue pour moi  le summum de la jouissance et de l’excitation. Sous poppers, c’est encore plus intense. Il est clair qu'on ne cherche pas un partenaire... on est là, exhibé, impuissant, et on offre son cul, sa bouche, son corps et son mental à tout ce qui vient, d’autant plus quand comme aujourd’hui, j’ai les yeux aveuglés et que même un mec sale et moche peut profiter de moi comme il veut !

Seule ombre au tableau : le risque qu’un mec fasse abstraction du préservatif. C’est pour ça qu’il est souhaitable d’être pris en charge par une relation dominatrice (aujourd’hui le couple Dom), jouissant de voir sa lope jetée en pâture à une bande de  queutards mais veillant également au bon déroulement des opérations. J’ai déjà vécu ce type de scénario dans certains saunas.

Le sling est vraiment l’endroit idéal. Les tournantes et autres plans abattages s’y produisent spontanément et peuvent durer 1 heure comme 2 minutes. Mais c’est toujours très intense ! J’aime beaucoup le sling car, habituellement, je vois mon (mes) partenaire(s) de face et, même avec la tête farcie de poppers, on peut contrôler, et aussi on s’offre intégralement, le trou béant en évidence comme le bon vide-couilles que je suis. Ce qui me fait surtout kiffer, c'est qu’après le 3ème mec, l'anus est bien dilaté, on arrive à se sentir plus chienne encore qu'au départ. Et lorsqu'un gros morceau se pointe, c'est le pied, car on apprécie davantage que s'il avait été le premier de la liste.

On me détache posément pendant que je me repais de ce moment délicieux. Quel pied ! Mais alors que j’en suis encore à profiter et que j’aimerais savourer… on me saisit par la laisse rudement, me tire méchamment et je tombe presque du sling.

 

 LA SUITE A VENIR

 

 

Par jovialbisesmotherfucker - Publié dans : exhib hard
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Lundi 2 mai 1 02 /05 /Mai 18:03

Mes aventures sans Maitre (5) : ma soumission par un couple Dom dans un club de sex

 

Enfin, je fus livré (voir « Mes aventures sans Maitre (2, 3 et 4) : ma soumission par un couple Dom dans un club de sexe ») !

Toutefois avant, la fille (ou le type) me remet sous le nez encore une fois la fiole de poppers : 4 longues sniffades dans chaque narine, en retenant ma respiration pendant plusieurs secondes et expirant après d’un seul coup afin que les vapeurs m’éclatent totalement… d’ailleurs, je manque tomber et ils doivent me rattraper et me soutenir jusqu’au siège où ils m’installent. Le couple me fait mettre à genoux sur un des fauteuils bas du coin, le torse appuyé contre le dossier afin que mes mains soient libres, les genoux éloignés du dossier, posés sur le bord, en conséquence bien cambré et le cul tendu et offert dans une belle position de lope exhibée à quiconque en voudrait.

Ils étaient nombreux ; ils avaient attendus, souvent en se branlant sans doute… car je sentis nombre de bites turgescentes contre moi ! Les mecs se jettent dès que je suis installé ; ils m’entourent et même se bousculent pour arriver dans mes orifices et sur mon corps : un gros morceau de viande livré à une bande de piranhas voraces qui tous en même temps veulent de la chair ! Ils le désirent ce corps qu’on leur livre en pâture ! En plus des queues, j’ai conscience que des mains me palpent et me tripatouillent partout ! Venant par en-dessous, une d’elles me saisit la bite et me la tire fortement… j’ai mal mais ne peux réagir, même pas crier ou me rebiffer d’une quelconque façon que ce soit, bloqué par ces corps me collant et ses bites enfoncées ou pas où elles le peuvent… Des films pornos ont sans doute imaginé ce type de baise mais moi jamais je ne l’avais observé jusqu’ici ! D’ailleurs, j’entends la fille essayer de calmer les ardeurs trop pressantes :

- « Pas tous à la fois ! Vous n’arriverez à rien ! Calmez-vous, va y’en avoir pour tous ! »

La séance les avait surexcités ! Ils avaient envie immédiatement et pas question d’attendre son tour… si bien que j’ai une bite dans chaque main… 2 souvent dans la bouche, élargie et ouverte au maximum…  ça essaie d’entrer dans mon cul… mais j’ai la sensation qu’ils n’y arrivent pas, se bousculant et se poussant trop ; je me prends des claques sur les fesses et le dos, je suis pincé et caressé un peu partout, plusieurs mains m’enserrent la bite, la tiraillent et la tordent… tout ça, je ne sais pas trop comment ! Je n’arrive pas à décrire ce qu’il se passait ; il eût fallu que le couple prît des photos pour que je tente maintenant d’exposer la scène incroyable. Je suis coincé, pressé, j’ai du mal à tourner la tête pour happer d’autres bites, cerné et bloqué par ces mecs qui s’affalent parfois sur moi…

Très vite, j’ai du jus un peu partout : sur le dos et le cul, sur les mains, le visage et le cou et, bien que je ne le veuille pas, dans la bouche, car certains éjaculent dès que leur bite s’engouffre dedans. La crème, il me semblait alors, coule à flot… Je m’inquiétais ainsi baisé comme un jouet à mecs ! D’abord pour ma sécurité : je ne sais pas s’ils respectent les consignes ; ai-je des bites dans mon trou ? Et si oui, mettent-ils une capote ? De plus, alors que j’essaie de cracher le sperme accumulé dans ma bouche, je n’y arrive pas vraiment et donc j’en avale malgré moi ! D’autre part pour mon plaisir de larve sexuelle : qu’allait-il rester pour la suite ? Y aurait-il encore de bonnes queues à sucer bien dures assez longtemps, y aurait-il des bites solides pour m’enculer à la chaîne ?

Je n’arrivais pas à me lâcher et à m’engloutir mon le plaisir de chienne, c’était désagréable et même pas terrible… Bien que j’adore être traitée comme une pute au service des mecs (et couples et trans)  et de leurs désirs salaces, bien que je glorifie être malmené, rudoyé et tourmenté comme une sous-merde à totale dispo, je n’en tirais que plaisir malsain et incomplet. Ma bouche et mon cul ne servaient pas aussi bien qu’ils eussent pu le faire !

Un peu écœuré… je continue comme je peux à assurer le service (sans pourboire) lorsque j’entends la fille crier : « Écartez-vous ! Il va passer en salle noire et glory à dispo… mais seulement éjacs faciales ou corps ! Après pour ceux qui aiment enculer, ce sera le sling ! » J’ai la sensation que ça s’écarte autour de moi. En effet quelqu’un (le mec du couple ?) me saisit brutalement par la laisse et me tire, me forçant à me redresser. Je le fais tout en tentant de vider ma bouche et de bien cracher la crème… et je suis la laisse tendue devant moi.

La fille crie : « Allez venez, pour tous gars très actifs tous âges si bonnes teubs, il suce bien… On va l’attacher à genoux à l’entrée du glory, porte ouverte pour d'autres qui veulent mater ou participer à leur tour. » Même si cela est dur, dégradant et parfois comme ici pas toujours bien satisfaisant, j’en redemande. Le plus dur est de rien sélectionner, de ne pas même savoir qui te baise : c’est s’avilir au maximum ; sur le moment on a tendance à vouloir faire  machine arrière puis on se laisse posséder.

Le type du couple m’ordonne de me mettre à genoux et me menotte les poignées derrière le dos. Puis il tire sur la laisse et je comprends qu’il est en train de la fixer quelque part car je ne peux plus m’écarter. Je l’entends farfouiller puis il m’appuie brutalement sur la tête pour que je me penche, me claque vigoureusement les fesses et m’enfile sans ménagement un gode mais heureusement avec ce qu’il s’est passé avant, je suis bien ouvert. Je pousse quand même un petit cri parce qu’il a enfoncé le gode férocement et sans gel ; cela le fait rire et il s’éloigne de moi, disant : « La pute est prête. À votre service ! »

J’étais sans doute à l’entrée d’une cabine, attachée, en position servile, bon pour sucer autant que nécessaire. La première bite se présente : « Aller suce salope… » Je me mets à la sucer voracement. Maintenant les queues se succèdent l’une après l’autre ; je préfère ainsi plutôt que tous ensemble car je ressens mieux les choses ! Le premier se retire vite fait sans éjaculer… et sans doute s’éloigne. Je perçois qu’un autre type se place devant moi, je veux saisir son zob mais il n’a pas encore déboutonné son fut. J’attends qu’Il sorte sa queue et qu’il me la place sous le nez. Instantanément j’ouvre ma bouche et le suce, ça dure peu de temps car le mec se retire de ma bouche et se branle pour se finir en éjaculant sur ma cagoule.

Aussitôt, un autre mec me la caresse avec sa bite, récoltant le sperme de l’autre, et me passe son zob sur le cou  et les épaules, tout en se branlant ; très vite, il jouit sur mon torse. Le suivant introduit à fond sa bite dans ma bouche, d’un seul coup, je suffoque un peu ; il la ressort et me bifle plusieurs fois assez durement. Il me la remet et je le suce longuement, le mec prend visiblement son pied car je l’entends gémir mais il repart sans jouir et me dit : « T’inquiète salope… j’vais revenir et profiter encore de toi, putasse ! T’es là pour ça. » Oui, je sais que je ne suis qu’une purge-couilles soumise et à dispo ! D’autres encore se présentent pour se faire sucer, certains jouissent vite sur ma cagoule ou sur ma poitrine, d’autres se retirent sans éjaculer après m’avoir pris la tête et avoir plaisir à m’enfoncer leur sexe en fond de gorge et sentir m’étouffer et gémir. Quelques-uns m’insultent abondamment mais la plupart ne disent rien, laissant seulement quelques gémissements de plaisir sortir à la fin de l’exercice.

J’aime énormément sucer. Mais je me rends compte que je préfère quand c’est moi qui donne le rythme selon mon bon plaisir. Là, je ne suis qu’un trou et je n’ai aucunement le loisir de choisir : les mecs font complètement selon leur envie et de la sorte je ressens, là encore, moins bien les sensations. Mais je fais abstraction de ceci et je m’applique à offrir mon service de lope pour le plaisir des autres selon leurs conditions. J’ai une sensation étrange : un mélange en même temps d’excitation et d’humiliation de me retrouver en position avilissante totalement à poil, sans rien voir mais complètement obéissant, dans ce sex-shop au milieu des autres mecs habillés qui me considèrent comme une larve ! Mais bon… j’assume et fais ce qu’il m’a été ordonné d’accomplir. Pour l’instant, je ne suis pas encore une véritable larve soumise, sous-homme, 100% bâtard, 100% soumis, 100% passif, maso, très obéissant malgré mes trous à disposition de tout mâle et ouvert à tout scénario. Il faut que je m’endurcisse pour enfin accepter tous les ordres et punitions et les exécuter dans le plaisir et en appréciant la douleur qu’ils génèrent !

Soumis… suis-je un bon soumis ? Je me le demande pendant que les mecs enfilent ma bouche à la chaîne ? Sans honte et dégoût de moi, c’est la part sombre de ma personne : on abuse de moi, on me fait souffrir, je suis humilié et ne sers plus que de vide-couilles… mais j’ai complètement envie de m’enfouir dans ce sentiment qui m'habite et m'imprègne : soumission... je dois m’en montrer fier, libéré du poids de la morale et de mon éducation, de ma position sociale et de mes devoirs d’époux et de mâle. J’ai ce besoin inné et, bien qu’un peu déçu à l’instant par ce lopage, sans savoir très bien pourquoi par ailleurs, je ressens une motivation intérieure vigoureuse qui, avec l'âge, est devenue insatiable. En découle l’envie viscérale de me sentir objet avili, humilié, perverti, abusé et maltraité !

LA SUITE A VENIR


Par jovialbisesmotherfucker - Publié dans : exhib hard
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